Trou de la balle
Datte: 16/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
amour,
vengeance,
jalousie,
chantage,
dispute,
ffontaine,
coprolalie,
policier,
Auteur: ???, Source: Revebebe
... tireur que toi. Mais du temps, tu risques d’en avoir en prenant au moins vingt ans de taule.
— Oh, Monsieur Van der Haguen…
Je me retourne et vois Amandine blanche comme un linge.
— J’ai eu si peur… C’est donc lui qui a tué Daphné et non pas Roland ?
— Oui, c’est bien lui. Mais pourquoi s’en prendre à toi ?
— Je ne peux pas supporter les gouines, prononce Jerry malgré la douleur de sa blessure. Elle aussi devait disparaître.
La gendarmerie se pointe et n’a plus qu’à cueillir le meurtrier de Daphné. Pour ma part, je suis sur le point de m’arracher et de regagner mes pénates, le devoir accompli. Mais Amandine me retient et m’entraîne vers le lit. Comme dans un rêve, je la vois se dessaper, ôter devant moi, sans aucune pudeur, sa robe qu’elle fait passer par-dessus ses épaules. Elle est ravissante avec ses dessous de couleur bleu nuit. Sans hésitation, elle retire son soutien-gorge, dévoilant une poitrine généreuse puis sa culotte, me laissant voir une chatte rousse de toute beauté. J’ai toujours adoré les couleurs de l’automne qui ornent les pubis des vraies rousses. Et Amandine est une vraie rousse, la coloration de sa chevelure étant en tout point identique à celle de sa motte. Son visage n’est pas le seul à être couvert de taches de rousseur : son ventre et ses adorables nichons en sont également constellés.
— Tu es très belle, je lui dis. Mais qu’est-ce que tu veux ? Tu es lesbienne.
— Mets-toi nu s’il te plaît, me dit-elle d’une toute petite voix.
Je ne ...
... me fais pas prier et je remarque que la garce regarde sans vergogne mon sexe qui est gonflé et qui ne va pas tarder à bander pour peu qu’elle s’y intéresse. Contrairement à ce qu’elle m’avait dit, ma pine ne la laisse par insensible. Je suis sur le dos et sans autre forme de préliminaire elle s’allonge sur moi dans la position du 69. Je sens ses deux nichons contre mon ventre tandis que la fourche de ses jambes enserre ma tête. Comme par miracle, la forêt d’automne de Brocéliande s’écarte et des chairs humides et roses s’ouvrent d’elles-mêmes sous mes yeux. Ma langue lape la fente qui se dessine, y récoltant un jus épais. Je l’avale avec délectation, non pour son goût, mais plutôt par perversité car le jus intime d’une lesbienne qui mouille pour moi, un mâle, ça ne se refuse pas. De son côté, la nana a pris Popaul en main avant de l’emmener au cirque.« Comment cette nana qui n’a aucune expérience des mecs peut-elle s’y prendre aussi bien avec ma queue ? Il y a beaucoup d’hétéros qui feraient bien de s’en inspirer ! »
Bientôt nos gémissements se répondent. Tandis qu’elle suce ma biroute, gobe mes bijoux de famille et lèche mon gland, moi j’agace son bonbon. Je pose un doigt à l’entrée de son con ; il y entre sans aucune résistance. Il en ressort couvert de mouille, alors je le pointe à l’entrée de son cul. Je sens les muscles se contracter comme par réflexe avant de se détendre pour me céder le passage. Mon index se trouve figé entre les parois serrées de son fion. Tout en ...