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Par la faute du corbeau...
Datte: 16/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Alainylon, Source: Hds
... comme étant des mots crus : - Putain ! Il sent bon de la queue ! Ou encore, en plein délire : - Ça sent bon le sperme ! Oui le sperme… et le cul… Il ouvrit la bouche en grand et enfourna le slip. Le mâchouillant. J’étais abasourdi. Qu’il lèche les slips à ma femme encore là je pouvais l’approuver, étant moi-même un renifleur, mais mon slip ! Là je ne comprenais plus ? Je n’étais pas moins exciter. Pris d‘un coup de folie, je décidais de faire des vêtements que je portais un petit tas devant la porte. Ne gardant sur moi que mon slip. Après avoir pris une grande aspiration je poussais sur la porte qui pivota silencieusement sur ses gonds me donnant en grand l’accès de ma chambre. Je m’avançais alors, toujours sur les pointes des pieds. Il mit un certain temps avant de s’apercevoir que je me trouver à un mètre de lui. Il fut pris de panique. - Reste calme ! L’ai-je réconforté. Ne bouge pas, je ne te ferai aucun mal. - Je m’excuse Monsieur… je m’excuse Monsieur… - Oui je sais… je t’en veux pas… Ces quelques mots ont eu pour effet de l’apaiser. - C’est sûr Monsieur, vous ne m’en voulez pas. Je ne vous ai rien volé. - Je le sais. Sinon tu ne serais pas là. Tu aimes les odeurs de mon slip ? - Heu !… oui Monsieur… - Tu ne préfères pas ceux de ma femme ? - Je ne saurai vous le dire. - Que fais-tu chez moi. - ... - Tu ne veux pas me le dire ? C’est ça ? Cela te dirait d’ humer le slip que je porte ? - Non… - Et pourquoi ? Ce ...
... n’est pas ce que tu faisais avec mon slip ? - Oui… mais… - Mais quoi ? Aller pas de chichi, sens-moi là ! Les yeux grands ouverts, il restait sans réaction toujours allongé sur le lit. Pris d’une frénésie, je grimpais sur le lit pour m’installer au-dessus de lui. Un genou de chaque côté de ses joues. Plaçant mes parties intimes moulées dans le nylon à hauteur de son tarin. - Aller gamin sens-moi ça ! Qu’attends-tu ? Lui fis-je. - Je ne sais pas si je dois ! - Mais bien sûr mon gars que tu peux. Je le désire même… cela restera entre nous ! C’est une promesse. Je ne suis pas fan de ce genre de relation. Mais il y a que les cons qui ne changent pas d’avis. Alors je compte sur toi… Ses mains commencèrent à me tâter d‘abords timidement. Mais sous mon impassibilité il prit très vite de l‘assurance. Il me caressa comme il l‘aurait fait sur lui. Bizarrement, je bandais dur. Très dur même. Il prit même l’initiative de faire glisser ses doigts sous le slip, pour une caresse que je dirai, experte. Je fus submergé par une étrange envie. Celle de faire connaissance avec son sexe. Pour ce faire je plaçais mon visage au-dessus de sa barre de chair. Son odeur était prenante. Celle d’un fauve. Mais au lieu de me rebuter cela à fait effet inverse. M’exhortant à faire courir ma langue au long de sa queue. Qui sous ma caresse se mit à tressauter. Je donnais des coups de langue sur son gland gorgé de désir. Il les accueillait d’un râle approbateur. Son goût iodé passa en peu ...