1. Par la faute du corbeau...


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Quelques jours plus tard, comme au boulot la journée était calme, je décidais de rentrer plus tôt chez moi. Mais aussi, pour purger les nombreuses heures supplémentaires accumulées.
    
    Une fois n’est pas coutume, en entrant chez moi je m’intéressais au courrier. Les doigts tremblant d’excitation, j’ouvris la boite aux lettres pour m’apercevoir malheureusement que je n’avais pas de nouvelle du corbeau. Le dernier message de ce dernier daté de quinze jours. Depuis plus rien. J’avais bien été tenté d’aller rendre une petite visite à Madame Durand, mais à chaque fois je m’en suis dissuadé de le faire. Laissant le suspens se faire. Que cela étonne quelque uns des lecteurs, j’étais loin d’être offusqué des infidélités de ma femme. Je dirai même que cela me donner le petit quelque chose qui m’incité de m’occuper de ma femme. Lui faisant l’amour plus régulièrement. Comme quoi il y a du bien à être cocu !
    
    D’ailleurs il me tardait qu’elle rejoigne le domicile pour que nous puissions aller nous isoler dans la chambre. Je vous laisse deviner pour quoi y faire ?
    
    Ce fut avec cette pensée, que je m’approchais du frigo pour me prendre une bière. Et alors que je décapsuler la cannette j’entendais quand marcher en dessus de ma tête. C’est-à-dire dans ma chambre. J’exclus tout de suite ma femme qui travaillait à cette heure, et les enfants à l‘école. Peut-être ma belle-mère, mais je n’ai pas vu sa voiture, donc il restait plus que le cambrioleur !
    
    À pas de loup je m’aventurai dans ...
    ... les escaliers pour atteindre la chambre. Près à prendre en flagrant délit l’intrus. Par chance, la porte était entrebâillée. Et là chose incroyable, je découvrais le garçonnet à la grosse queue, qui avait fait jouir ma femme chez Madame Durand confortablement installé sur mon lit.
    
    Ses jambes étaient gainées de bas blancs. Attachées à un porte-jarretelle. La tête renversait sur l’oreiller. Les yeux clos, en train de se caresser, l‘esprit tranquille. Ne se doutant pas un seul instant que j’étais en train de l’épier.
    
    Comme lors des trahisons de ma femme, j’étais dans incapacité de trouver une conduite à suivre. Paralysé que j’étais par ce qui se dérouler devant mes yeux. Alors je me contentais de le contempler quelques secondes.
    
    Son sexe me paru bien plus gros que le jour où il l‘avait introduit dans la chatte de ma femme. Comme je remarquais que sur sa droite se tenait un petit tas de linge. Qu’il avait sans doute pris le soin de récupérer dans le panier de la salle de bains.
    
    D’ailleurs hormis les bas, il avait aussi enfilé une mini culotte de ma femme. Si petite sur lui, qu’il ne cachait que la base de son sexe.
    
    Au bout d’un certain temps, il tendit son bras et farfouilla dans le tas, tirant à lui un slip. Et pas n’importe lequel, le mien ! Qu’il s’empressa de porter jusqu’à ses narines. Humant bruyamment les arômes qu‘avait laissé ma queue en séjournant pendant pas mal d‘heures. De temps à autre il laissa échapper de sa bouche quelques phrases que j’assimilai, ...
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