1. Atelier d'artisanat - 1


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, cocus, voisins, jalousie, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Passerose, Source: Revebebe

    ... particulier, de cours privé qu’elle irait manifester contre ces attouchements spontanés et naturels : cette attention particulière de l’enseignant bénévole la ravit au contraire.
    
    Qui ne dit mot consent. L’animal en profite pour multiplier les contacts. À la pause suivante, vers 19 heures, ses applaudissements redoublés lui valent des signes de reconnaissance à la hauteur de ses espérance ; l’enlacement est plus long, plus serré, le baiser destiné à la joue dérape en coin de lèvres, s’ajuste, chaste encore, mais cause des ravages. Rose se retire en essuyant ses lèvres, l’air étonné et contrarié, lui se détourne pour cacher à ses yeux les effets du rapprochement sur son pantalon. Un ange passe…
    
    Enfin ils se remettent face à la table pour l’étape suivante. Apparemment rien ne s’est passé, Rose repart dans le tracé du motif, le maître retrouve son contrôle et reprend conseils et explications, avec des échanges de regards longs qui s’interrogent, hésitent, affirment, ne savent pas. Les mains baladeuses ont repris leur ballet virevoltant, au hasard des positions, la surface parcourue s’est élargie, la fesse n’est pas plus épargnée que le creux des reins ou l’épaule. La dernière audace acceptée a été ce bras glissé sous le bras de Rose penchée, pour atteindre un point de l’ouvrage, le glissement a nécessairement touché le sein droit en un long frottement. Dans les minutes suivantes, par symétrie, le sein gauche a pu bénéficier du même traitement de faveur excitant sans que ...
    ... je puisse noter la moindre résistance chez la bénéficiaire. Si elle ne l’encourage pas, il faut admettre que les limites de sa tolérance ont fortement reculé. Elle ne demande pas, mais reçoit avec cette indifférence feinte que le donneur peut aisément prendre pour une approbation.
    
    Quand Rose enfin se redresse et se détend, Gilles affiche une telle satisfaction que le visage de Rose s’illumine et qu’elle ne résiste pas à l’appel de ses deux bras grands ouverts. Elle se blottit contre lui, ses deux bras s’accrochent derrière la nuque virile et sa bouche reçoit la récompense promise aux meilleures élèves sans doute, un baiser de fiancé ou d’amant, long, qui entrouvre les lèvres et soumet la bouche à une investigation profonde. Tous ces attouchements, tous les rêves audacieux de succès et de louanges ont fait fondre les dernières frontières de la pudeur. Ce baiser est une capitulation sans conditions, un acte d’abandon total, plein de fougue.
    
    Il y a des semaines que je n’ai pas su provoquer un don aussi complet. Gilles n’en revient pas, les bras lui en tombent, jusqu’à la croupe de Rose, s’y attardent pour flatter l’arrondi, en prendre la mesure en y faisant courir des frissons, remontent en chiffonnant la jupe par-dessus la blanche culotte « petit bateau ». La place est conquise avant le début de la bataille. Rose est tétanisée, consentante. Un doigt inquisiteur passe sous la lisière de la culotte, l’autre main déballe un sein : il est si spontané et si naturel qu’elle se ...
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