Je vais vous raconter une histoire de fesses...
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
délire,
Humour
Auteur: Mirthrandir, Source: Revebebe
... en rut. C’est pas possible, ça !…
— …
— Allons bon. Qu’est-ce qui vous fait rire, Mamadou ? Il n’y a pas de quoi rire !… Quoi ?… Mais remballez ça aussi, mon vieux ! On n’est pas ici pour se livrer à un concours de longueur de quéquette !…Et vous faites peur à Charlotte, en plus, avec votre gourdin ! Vous êtes pénible, tout de même !
— …
— Non, c’est pas du racisme.
— …
— Oui, Charlotte, venez ici, au premier banc. Et Marie-Clothilde qui se cache les yeux, maintenant ! Vous pouvez vous tourner vers le mur du fond, si vous voulez… Non, c’est pas la peine, avec ses écouteurs elle n’entend rien de ce que je dis, cette gourde… Oui, bonne idée, planquez-vous dans la grande armoire. Nous poursuivons. Ne m’interrompez pas, je vous prie. Merci.
« Je décidai instantanément de la jouer fine, et de guetter chacune des expressions du visage de Charline.
— Surprise ! m’exclamai-je en souriant.
— Ciel ! Mon mari ! Répliqua-t-elle aussitôt avec un certain sens de l’à-propos, avant d’éclater de rire en déposant ses deux paniers sur le carrelage.
Je me levai tandis qu’elle refermait la porte, franchis la courte distance qui me séparait d’elle et la pris dans mes bras. Elle répondit instantanément à mon baiser et se serra contre moi. Je sentis son corps contre le mien au travers du tissu éponge et de la légère robe d’été en coton qui lui allait à ravir, et humai le gourmand parfum, fruité et fleuri, de son eau de toilette préférée.
— Tu as l’air en forme, me dit-elle en ...
... glissant une main entre les pans de mon peignoir de bain.
— Oui ? fis-je simplement, en fourrant mon nez dans ses cheveux pour l’embrasser dans le cou, juste sous l’oreille.
J’essayais de maîtriser mes émotions, de garder la tête froide, mais c’était tâche malaisée, lorsque ma femme se lovait ainsi dans mes bras. Je me laissai aller à mes pulsions toutes naturelles. Mes mains partirent en exploration le long de son dos, de la courbe de ses reins, et s’arrêtèrent sous les deux globes fessiers, palpant les rondeurs recouvertes du doux tissu de la robe. Au même moment, je sentis s’écarter les pans de la sortie de bain et les deux mains de Charline s’enhardir sur ma peau.
— Tu sens le frais, apprécia-t-elle en m’enserrant dans ses bras pour amplifier le contact de nos deux corps.
Je sentis son ventre se presser contre mon sexe déjà gonflé, et le léger mouvement des reins qu’elle adopta pour augmenter mon excitation. »
— Manifestement, Kevin, ça n’a pas suffi - quelle santé - !
— …
— Oui, c’est ça, sortez pour de bon.
« Elle entoura mes joues de ses mains tout en m’embrassant, ses doigts filèrent le long de mon cou et de mes épaules, repoussant le peignoir éponge, que je laissai choir au sol derrière moi en libérant un instant mes mains. J’étais à présent complètement nu devant Charline, qui se serrait tout contre moi comme pour mieux épouser les reliefs de mon corps. Je glissai les mains sous sa robe, remontai le long de la courbe de ses hanches, effleurant au ...