La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°944)
Datte: 13/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... naseaux exhalaient des nuages de vapeurs à chacune de ses respirations . Je cru reconnaître la silhouette du Marquis dans ce cavalier . Mais n'était-ce pas ma raison, embrumée par une quelconque drogue, qui me faisait voir ce que je souhaitais .
Pourtant le cavalier me paraissait réel . Il était visiblement en colère . Il faisait tourner son cheval le faisant aller et venir devant la grille qui lui bloquait l’accès à l'allée . Le conducteur ricana en le voyant dans son rétroviseur :
- Tu arrives trop tard Monsieur le Marquis ! elles sont au Maître maintenant !
Entendant cela, je me retournais et le regardais stupéfaite ! C'était donc un vrai enlèvement, ce n'était pas un jeu, le Marquis n'était pas au courant de ça , je n'avais pas rêvé, c'était bien lui . Je regardais derrière mais je ne voyais plus ni le mur ni les grilles, cachés par les arbres .
Mais j'étais certaine maintenant que c'était lui, qu'il était là , derrière les grilles qui l’empêchaient de venir à notre secours .
Mais, ces hommes, qui étaient ils vraiment ? Je ne les avais jamais vu au château ? Qui était ce Maître qui avait ordonné, planifié notre enlèvement , J'avais la désagréable sensation que je n'étais plus maîtresse de mon destin, que ma vie dépendait d'un individu que je ne connaissais pas.
Ma tête me tournait, je n’eus même pas le courage de crier, de toute façon ça n'aurait servi à rien. J'étais effondrée . Qu'allait-il advenir de nous ? Oh Mon Maître, vous reverrai-je un jour ? ...
... Mon cœur se serra si fort que je cru qu'il allait s'arrêter . Un couteau me transperça quand je vous imaginais, apprenant la nouvelle de mon kidnapping , car j'avais bel et bien été enlevée, kidnappée de chez le Marquis .
J'en étais là de mes craintes, noyée dans ma douleur quand la voiture stoppa devant une immense construction . Pas un château, non, mais une magnifique demeure de grandes proportions, construite en un rectangle strict mais de belle facture .
Au moment précis où la voiture s’arrêta, des hommes, attendant visiblement notre arrivée, surgirent et se précipitèrent vers nous . L'un ouvrit la portière et voulu se saisir de moi . Ce n'est qu'à ce moment là, que me libérant enfin de toute la tension accumulée, je me mis à hurler de tout le souffle que je pouvais .
Je criais, hurlais, pleurais, gesticulais tout à la fois . Mélanie , se réveilla . Me voyant affolée, ne sachant pas comment elle était arrivée dans une voiture, mais comprenant très bien ma détresse, se mit elle aussi à crier et à gesticuler, empêchant les hommes de se saisir d'elle .
L'espace exigu du véhicule les gênait et nos mouvements désordonnés les empêchaient de nous attraper . Ils grognaient, essayant de nous attraper qui les mains, qui les jambes . Un des hommes s'approcha de moi pour me saisir par les pieds . Je les lui balançais du plus fort que je pus et il les reçut en plein visage . Il cria à son tour portant ses mains à son nez qui s'était mis à saigner tout de suite
- ah la ...