1. Regards déplacés sur une charmante voisine de voyage


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, train, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Coquin3424, Source: Revebebe

    ... l’atteinte d’un sommet de voyeurisme…
    
    Un mouvement de détente lui avait fait glisser un peu son corps vers le siège en même temps que je me penchai. L’angle de vue s’était tant amélioré que… les lèvres de son sexe se dessinaient nettement sous mes yeux. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, des frissons me secouaient et je n’osais plus bouger. Cette fois, la salive afflua dans ma bouche, en quantité excessive : je venais d’atteindre le nirvana du plaisir scopique : Une « origine du monde » se dévoilait sous mes yeux. Le Saint Graal de tout bon voyeur. L’accès au plus grand et plus fort du mystère féminin : cette deuxième bouche de dentelle de chair porte des étoiles du bonheur de la sexualité et en même temps porte d’entrée de ce lieu si mystérieux d’où nous venons tous. La vulve de la femme est la quête suprême de tout chasseur d’intimité volée, si rarement atteinte. Dans le meilleur des cas nous devons nous contenter d’un têton, déjà œuvre si magnifique et si source d’émotion, une culotte ou quelques poils pubiens. Mais là, ces lèvres magnifiques, touchantes de tendresse, quelle récompense immense, inattendue et bouleversante…
    
    Les lèvres de ce beau sexe étaient longues, la droite un peu plus épaisse que la gauche et des tous petits bourrelets habillaient la chair nue. Quelle émotion ! Et quelle érection ! Cette fois, mon sexe tentait désespérément de percer mon pantalon et je dus le déplacer avec ma main pour supprimer le début de douleur qui s’installait. Rien que ...
    ... le contact lié à ce déplacement accrut encore mon excitation, et je ne pus faire autrement que de laisser ma main en contact avec ma verge, en évitant toutefois de la bouger pour ne pas me faire remarquer. Heureusement mon grand journal sur "La XXVIème biennale d’études sur l’incidence économique des régimes dissociés" me protégeait largement de mes voisins.
    
    J’étais en page 35 de ce journal mais sa lecture, quoique très passionnante d’habitude (chacun ses goûts !) devenait soudain aussi inintéressante que la plupart des commentaires sportifs d’un match de football (là aussi chacun ses goûts !) Mon cerveau était obnubilé par ce sexe de femme si bellement exposé à mon seul regard, le taux de mes hormones devait monter en flèche et toutes les photos de figues, mollusques, fruits de la passion, cerises de mon journal venaient se comparer sans honneur au merveilleux tableau vivant qui s’exposait discrètement sous mes yeux.
    
    Était-ce mon imagination ? Une amplification de mon sens olfactif par mes hormones viriles ? Il me semblait distinguer maintenant une fragrance douce et épicée à la fois qui pourrait conceptuellement provenir de la source exhibée à mes yeux. Et pourtant cela me semblait rationnellement improbable. Cependant, je m’enivrais de cette subtile odeur, fût-elle imaginaire !
    
    Le train continua son long trajet vers ma destination et ma voisine d’en face ne bougeait pas d’un poil, si j’ose m’exprimer ainsi. Quant à moi, je m’habituai à baigner dans cette ambiance ...