Regards déplacés sur une charmante voisine de voyage
Datte: 13/02/2020,
Catégories:
fh,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
Auteur: Coquin3424, Source: Revebebe
Encore un congrès où il faut aller… pour me faire voir, pour vendre mon territoire, faire des rencontres professionnelles de collègues, d’éventuels prestataires… Je m’étais installé à la voiture 12, place 92, comme le stipulait le bon d’embarquement. Ou plutôt c’était mon intention initiale… Puis mon regard s’était posé en passant sur cette jeune blondinette en jupe, et j’avais feint que ma place se trouvait dans la rangée en face d’elle. De la place que j’avais choisie, j’avais une vue admirable et discrète à la fois sur son corps. Je pouvais feindre de lire et d’écrire, et en même temps mon regard pouvait se glisser entre les deux sièges devant moi pour la regarder subrepticement en face.
Elle était d’une certaine beauté fraîche… Un beau sourire dans une grande bouche. Des regards sympas (parfois presque fripons) à son voisin, un jeune de son âge (16 ans 18 ans 20 ans ?) Une bonne voix un peu grave avec des accents aigus… qui me faisait bander presque malgré moi ! À l’entendre il me semblait sentir l’odeur un peu acide qui émanait de ses cheveux, le type de senteurs qui éveille mon désir.
C’est assez incroyable comme mon attirance, mon indifférence ou ma répulsion pour l’odeur que dégage le cuir chevelu d’une femme peut bloquer mon désir ou au contraire l’exacerber à l’infini. Si j’avais écouté plus souvent cet indicateur, j’aurais évité des relations sexuelles décevantes ou insisté pour en provoquer qui auraient sûrement été au moins aussi sublimes que celles que ...
... j’ai connues avec celles dont la seule fragrance du cuir chevelu faisait dresser ma virilité…
Pour en revenir à ma voyageuse du jour, elle portait une jupe ample et longue qui ne montrait aucune velléité provocante. Je continuai mon voyage, mi-l’étudiant, mi-l’observant à la dérobée. Au bout d’une heure, elle eut sommeil. N’ayant pas de voisin en face et ayant besoin d’étendre ses jambes pour son confort, elle les allongea sur la banquette d’en face. Elle le fit tout naturellement, et sans intention érotique (du moins apparemment), mais ce mouvement dévoila ses jambes nues fort loin sous sa robe : je voyais maintenant jusqu’à son genou. Elle s’endormit ainsi. Et je continuai, mi-studieux, mi-voyeur, le sexe toujours en début d’érection.
Pendant son sommeil, elle effectua un mouvement (inconscient ?) de rotation sur le côté, sûrement pour davantage de confort, qui me dévoila bien plus : la cuisse se montrait désormais intégralement entre les pans de sa jupe et une ombre entre les cuisses me laissait dubitatif sur la nature de son sous-vêtement. Sa jambe glissa encore un peu plus sur le côté et je n’eus plus de doute : elle ne portait pas de culotte et je voyais, en vue « aérienne », plein de boucles un peu plus brunes que sa chevelure. Mon sexe dans le pantalon tenta de se déployer bien plus et trouva l’obstacle contraignant du tissu. Je me penchai un peu, commençant à sentir aussi de la sècheresse dans ma gorge sous le coup de l’émotion et, tout à coup, un choc lié à ...