Ouarda et la sensuelle lutte des classes
Datte: 12/02/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
photofilm,
Oral
pénétratio,
yeuxbandés,
vengeance,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... d’emprisonnement.
Une fois installés tous les deux dans leur chambre, Omar appelle Ouarda.
— Bien installée ?
— J’ai rien compris, Si Omar. Qu’est-ce que je dois faire ?
— J’attends les visiteurs ; tu peux venir boire un verre si tu veux.
— Tout de suite.
Omar lui ouvre sa porte, la laisse entrer et referme la porte aussitôt.
— Ils ne sont pas encore arrivés… Bon, Ouarda, apparemment ils ne vont pas venir, ils viennent de m’appeler…
— Ichhhhh, lui fait Ouarda en avançant dans la chambre.
Elle pose son sac à main légèrement entrouvert sur la commode, à côté de la télé et se tourne vers Omar.
— Il fallait me dire dès le début que vous avez envie de moi ! J’avais tout compris depuis le début. Et puis, moi aussi, j’ai envie de vous. Vous ne saurez jamais combien vous me plaisez.
Elle tient le bout de la cravate et le tire vers elle. Il résiste légèrement tout en se laissant conduire. Sa bouche se rapproche ; elle la colle contre la sienne. Il sent ses jambes et ses bras frémir, il tente de l’interrompre.
— Non, Ouarda, je vais laisser tomber, c’est pas ce que je voulais faire, fait-il en balbutiant.
— Trop tard, Si Omar, trop tard. Je suis à vous, dit-elle en lui enlevant la cravate.
Elle le pousse sur le grand lit cinq places. Il se laisse tomber sur le dos, elle continue à le dépouiller de ses vêtements. La chemise s’envole d’un côté, le pantalon de l’autre, le slip s’atomise, la queue émerge, toute timide. Ouarda comprend qu’elle doit ...
... accomplir son grand jeu pour lui faire dépasser ses craintes. Elle regarde derrière elle, constate que son sac n’est pas tout à fait dans la bonne direction. Tout en gardant Omar prisonnier de son regard, elle fait quelques petits pas en arrière jusqu’au sac. Elle sort son paquet de cigarettes et son briquet, contrôle l’appareil caché et remet la lentille scopophile dans le sens du lit.
Elle revient vers Omar, la cigarette allumée à la bouche. La fumée monte en filets. Omar n’a pas bougé. Son corps gît sur le lit, haletant et transpirant.
Ouarda se sent chauffée. Elle se rapproche d’Omar, ôte sa jupe moulante. En dessous, elle porte un string rose. Elle s’expose à Omar. Ses jambes sont sublimes, ses fesses sont superbes. Elle prend une taffe de sa clope et disperse la fumée sur Omar. Il l’aspire, sans réagir. Elle déboutonne son chemisier blanc qui lui colle au torse, en commençant par les poignets. En se libérant, ses seins semblent se gonfler.
Elle laisse tomber le chemisier sur le lit et approche ses seins savoureux des yeux d’Omar. Sublimé, il manque d’oxygène. Une dernière taffe, la cigarette est écrasée dans un cendrier. Ouarda vient se mettre sur Omar, un genou de chaque côté, la chatte écrasée contre son torse nu. Elle joue avec ses propres seins. Elle les soulève puis elle les lâche ; en se libérant, ils retombent avec un rebond délectable. Omar regarde attentivement, il sent du sang chaud lui irriguer le corps. Les aréoles sont légèrement oblongues et les mamelons ...