Premières vacances de Léa - Histoires de Sexe

Premières vacances de Léa

... tentais de la prendre en bouche. Je dirais que le gland rentrait juste dans ma bouche, je pouvais encore mettre mes deux mains jusqu’à la base et ma main ne suffisait pas pour en faire le tour. Bref, je dirais «a monster meat ».

Je fis tout de même de mon mieux pour en emboucher le plus possible pendant que Nico s’attelait à me déshabiller. Quand je fus totalement à poil, Domi me souleva tel un fétu de paille et vint me positionner au-dessus de son pieu puis lentement, il me fit descendre dessus jusqu’à ce que je sente le gland qui commence à entrer en moi. Sous l’effet de la pesanteur, je continuais à glisser inexorablement vers le bas et son pénis continuait à entrer lentement. Jamais je ne m’étais autant senti remplie, et à ma grande surprise, je finis par arriver en butée sur sa bite ; et là, il commença à me faire remonter lentement au moment où je crus que son gland allait sortir de mon vagin, il me lâcha et d’un coup je me retrouvai embrochée jusqu’à la garde.

Heureusement que nous n’avions pas de voisins car le cri que j’ai poussé a dû s’entendre à un kilomètre à la ronde. Il répéta la manœuvre une dizaine de fois jusqu’à ce que je craque et parte dans mon premier orgasme de la soirée.

Sans me lâcher, il s’allongea alors sur le dos et c’est moi qui commençai alors à le faire coulisser en moi ; c’est le moment que Nico, au comble de l’excitation, choisit pour entrer dans je jeu. Il me plaqua sur Domi et commença à me lécher la rondelle.

— T’es fou Nico, ...

... ça ne passera jamais ; il est bien trop gros !
— Mais si ma chérie, on essaie et si tu as trop mal, promis je m’arrête.
— OK mais alors, tout doux hein ?
— Bien sûr, mon chou, allez on y va.

Il commença alors à me mettre du lubrifiant puis avec précaution, il m’introduisit un doigt, puis un deuxième, je n’en revenais pas mais ça rentrait et c’était même très agréable.

— Allez, vas-y maintenant, encule-moi.

Je n’en revenais pas. C’était moi qui venais de dire ça !

Bien sûr, il ne se le fit pas répéter. Il se positionna derrière moi et commença à écraser son gland sur mon petit trou. Celui-ci fit de la résistance quelques secondes puis, sous la pression, le sphincter céda et sa bite commença son intrusion dans mon rectum ; il ne s’arrêta pas et continua sa lente poussée jusqu’à ce que je sente ses poils pubiens contre mes fesses.

J’étais partagée entre douleur et excitation, puis lentement la douleur s’estompa pour laisser la place à une douce chaleur qui m’envahit tout entière. Il accéléra un peu le rythme et Domi, qui n’avait pas bougé jusque-là, entra dans la danse en alternant les mouvements avec lui. Là, j’étais aux anges et j’enchaînai orgasme sur orgasme, toute l’île devait être au courant de ce qui m’arrivait !

À ce train, les garçons ne purent pas tenir longtemps et ils ne tardèrent pas à s’épandre en moi et pas qu’un peu. Quand ils se retirèrent, je sentis dégouliner sur mes cuisses des litres de sperme. Je leur fis un bisou à tous les deux et les ...