Premières vacances de Léa - Histoires de Sexe

Premières vacances de Léa

... Marie, empale-toi dessus. Je vais te préparer le fion.

Elle se mit donc sur son mec et je la couchai au maximum sur lui pour accéder à sa rondelle que je commençai à enduire de salive à grands coups de langue.

Je récupérai le tube de lubrifiant dans mon sac et lui enfonçai un, puis deux doigts tout en commençant des va-et-vient de plus en plus rapides. Nico devant ce spectacle s’était mis en attente à côté de moi. J’en profitai pour l’emboucher et lui redonner ainsi un maximum de vigueur. Quand le résultat me donna satisfaction, je braquai sa queue sur la rosette de Marie et commençai doucement à l’enfoncer, lentement les fronces s’effacèrent puis le gland cessa de s’écraser pour finir par franchir la petite porte. Dès l’intromission du gland, je cessai de pousser pour laisser Marie s’habituer à l’intrus et ce fut elle-même qui recula doucement pour s’enfoncer jusqu’à la garde.

— Voilà Marie, mon rôle est terminé, régale-toi maintenant ! Et les gars, faites ça bien, hein !

Je me retirai donc en pure voyeuse et je me dis qu’à être spectatrice autant garder un souvenir. Je pris notre caméscope dans mon sac et commençai à filmer la scène.

Les gars y allaient en douceur, l’un s’enfonçant quand l’autre se retirait. Je zoomai au max sur la queue de Nico qui dilatait l’anus de Marie puis je passai derrière eux pour filmer les couilles qui venaient en alternance frapper la chatte et les fesses.

Au bout de quelques minutes Marie commença à crier de plus en plus ...

... fort puis leur dit :

— Allez-y, plus fort, ne me ménagez pas !

Elle n’aurait pas dû dire ça, je crus que les garçons venaient de recevoir une décharge électrique. Ils se ruèrent en elle tels des soudards et je voyais distinctement leurs bourses s’écraser les unes contre les autres quand ils s’enfonçaient à fond. Je filmai tout ça sans en perdre une miette puis je braquai la caméra sur le visage de Marie, elle avait les yeux quasi révulsés et la bouche ouverte comme si elle cherchait de l’air.

Elle hurlait son plaisir sans discontinuer.

Au moment où les garçons lui remplirent les entrailles et le vagin, je crois même que, sous l’effet de son orgasme, elle perdit connaissance.

J’étais impressionnée par ce que je venais de voir. Je n’aurais jamais pensé qu’un orgasme pouvait avoir une telle intensité. J’en étais même un peu frustrée.

Quand Marie repris ses esprits elle embrassa d’abord Laurent puis se tournant vers moi elle me dit :

— Je comprends maintenant pourquoi tu m’avais emprunté mon mec.

Elle s’approcha alors et me fit un bisou sur la bouche pour bien marquer qu’elle ne m’en voulait pas.

Après un dernier bain, nous sommes partis nous coucher et ce fut Nico qui, compatissant, m’offrit mon deuxième orgasme de la soirée.

Le lendemain nous devions commencer à nous préparer pour la suite de nos vacances. Il était prévu que nous aiderions à convoyer un catamaran de Martinique en Guadeloupe. Le skipper était Dominique, un copain d’enfance de Nico qui ...