Hélène ou la préparatrice (1)
Datte: 10/02/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... mouvements. Elle a plusieurs orgasmes. Je suis toujours aussi dur et n’ai nullement le désir de finir. Conséquence du Cialis ? C’est trop bon de la sentir à ma merci. Elle crie. Elle s’agite, se baise elle-même. Heureusement il n’y a pas de voisins proches tant ses cris sont intenses…
Son petit trou secret palpite au-dessus de ma bite comme un appel pour une pénétration profonde.
Je décide de tester. Un doigt dans son fondement, elle ne dit rien et semble apprécier. Deux doigts, elle soupire. Je sors mon sexe de sa chatte trempée. Il est enduit de sa mouille. Cela devrait faciliter ma tâche. Je dirige mon glaive vers son anus et tente une pénétration. Une claque sur ses fesses pour la détendre et mon gland franchit les deux sphincters avec une facilité déconcertante. Ne serais-je pas le premier ? A éclaircir ma foi…
Je décide alors de la défoncer analement et vaginalement. Ce sont alors des successions alternatives entre son cul et son con. Hélène est au bord de l’explosion. Je sens qu’elle n’en peut plus et qu’elle voudrait que je termine. Le problème c’est que je voudrais bien mais, je ne sais pas où !
Je lui demande crument.
Elle me répond du tac au tac : « Dans le cul »
Je porte alors mon estocade. Pendant que je continue à la défoncer analement, j’introduis deux doigts dans son sexe et titille son clitoris entre mon pouce et mon index. Dans une ultime poussée j’éjacule pour la première fois en elle, dans son fondement, heureux de l’avoir baisée moi ...
... qui avait tant rêvé de le faire pendant des mois. Elle pousse un cri strident, proche de l’agonie, me montrant que son orgasme a été atteint en même temps que le mien.
Sans dire un mot, je la prends dans mes bras et je me dirige vers ce que j’entrevois comme étant le salon et la pose doucement sur le canapé. Je m’allonge à côté d’elle, mets ma main en conque sur son pubis et je l’embrasse doucement sur les lèvres. Elle ferme les yeux et me dis dans un souffle : « Je t’aime »
Il y a déjà près d’une heure que je suis arrivé et nous avons fait l’amour comme des bêtes tant notre désir mutuel était intense. Peu de paroles mais des actes forts. Hélène, c’est une évidence, s’est laissée possédée sans barguigner. Elle est là, nue, sans défense, tout contre moi et ce n’est pas un rêve comme ceux que j’ai eus depuis que je l’ai découverte pour la première fois il y a déjà plusieurs mois. Et là, sans hésiter, elle m’avoue qu’elle m’aime.
— Tu es sûre de ce que tu dis ? Tu ne vas pas un peu vite ?
— Non ! Dès que je t’ai vu entrer dans la pharmacie ce fut le coup de foudre. Tu ne t’en es pas aperçu mais, le premier jour, quand je suis allée chercher tes médicaments dans l’arrière-boutique mes jambes flageolaient. Lors de mon retour j’ai vu que tu étais troublé et quand je t’ai guidé pour mettre à jour ta carte Vitale j’aurais aimé que tu me prennes dans tes bras. Puis, au fil du temps, j’ai appris à te connaître. L’amour que j’avais pour toi s’amplifiait mais la réciproque me ...