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Hélène ou la préparatrice (1)
Datte: 10/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... baiser fougueux. On sent qu’elle n’attendait que ça. Je réponds à ses attentes en la prenant vivement dans mes bras. Je commence à bander et je ne peux le lui cacher, je suis si dur. Pour le lui faire sentir encore plus j’agrippe ses fesses de mes deux mains et je presse son bassin contre le mien. Elle est maintenant au courant de mes intentions malhonnêtes qu’elle semble apprécier. Alors que nos dents s’entrechoquent, mes mains partent à la découverte de son corps. Je soulève sa robe pour peloter son petit cul si ferme et j’ai la surprise de découvrir qu’elle n’a pas de culotte. Si j’avais besoin d’une confirmation, elle est là, Hélène a tout prémédité ! Je continue mes explorations pour voir jusqu’où je peux aller avec elle. Ses vêtements me gênent. Je passe la main dans son dos et je fais glisser la fermeture à glissière jusqu’au bas de ses reins. J’en profite pour lui caresser la raie des fesses. Je libère le tissu de ses épaules et sa robe tombe en corolle à ses pieds. Hélène est entièrement nue ; elle n’a pas de soutien-gorge ; à ma merci. Elle se laisse faire, abandonnée. Les pointes de ses petits seins dardent vers moi dans un appel au baiser. Je les suçote alternativement. Elle gémit. Je les mordille. Elle gémit encore. Je glisse un doigt dans son sexe glabre qui laisse entendre un bruit de clapotis tant elle est mouillée. Je décide d’aller plus loin. Deux autres viennent rejoindre le premier. Je les courbe tous les trois pour qu’ils viennent toucher son ...
... point G et j’entame une sarabande infernale à l’intérieur de son vagin. Elle crie. Elle hurle. Elle s’arc-boute contre la console dans l’entrée. Un jet de mouille jaillit de sa fente et ruisselle sur le carrelage. Elle s’écroule par terre tellement sa jouissance a été forte. Elle a juste une parole : « Tu m’as tuée » ! J’en profite pour me déshabiller. Mon sexe me fait mal tant il est dur. Je veux profiter de son corps jusqu’au bout comme si c’était un moment unique à partager. Je la relève doucement, la dirige vers l’escalier tout proche et la penche sur les marches, son cul bien en évidence. J’écarte ses cuisses pour faciliter l’accès à sa chatounette. Mon vit triomphant se glisse entre ses nymphes et trouve l’accès de son antre secrète. Il pénètre lentement son intimité à la recherche de son utérus. Hélène pousse des petits cris à chacune des progressions de ma verge. Je suis au bout. Mes bourses touchent ses fesses. Je fais alors palpiter mon gland abouté à l’entrée de sa matrice. Mes mains sont libres. Je les porte sur ses seins et je prends chacun de ses tétons entre le pouce et l’index pour les faire rouler entre mes doigts. Elle s’agite, me dit que c’est bon et qu’elle veut que je continue. Elle me dit aussi que jamais quelqu’un, y compris son mari, ne l’a aussi bien baisée. Ses mots agissent en moi comme un excitant. Je m’agite à nouveau. J’entre, je ressors. J’alterne les mouvements tel un marteau-piqueur. Hélène montre qu’elle adore en accompagnant mes ...