COLLECTION HISTOIRE COURTE. Libre (1/1)
Datte: 10/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... présentés, Justin, Gaby, Justin.
La verge de Justin fini par venir en moi, j’entoure ses reins de mes jambes de gazelle.
Sa poitrine écrasant mes 90 C me donne l’impression qu’ils sont à l’aube d’une nouvelle vie, vie de liberté que si j’analyse m’a toujours été refusée.
Les grands coups de queue qu’il me donne me font rapidement partir.
Au plus loin que je remonte, au moins la naissance de ma fille, c’est la première fois qu’il m’est inutile de feindre ma jouissance.
Il décharge en même temps que le magnifique orgasme qui me submerge.
Quand je me réveille il fait nuit, je regarde mon portable une heure du matin.
Pendant tout ce temps, mon amant a remis le couvert deux fois, la deuxième, je m’étais mise en levrette.
La troisième celle qui nous a laissés pantelant de jouissance et de fatigue, a duré de manière interminable mais me faisant démarrer deux fois encore.
J’ignorais que l’on pouvait avoir autant d’orgasme.
- Ou vas-tu ?
- Je rentre chez moi !
J’ai appelé un Hubert, il sera là dans cinq minutes.
- Tu aurais pu dormir là !
- Sûrement pas, je suis une fille libre et si je restais jusqu’au matin, j’aurais l’impression de retrouver ma vie de femme mariée que je viens définitivement de quitter cette après-midi.
Sur ces paroles, je l’ai quitté sans regret, même si c’était un bon coup.
- Bonjour Alice, Ambre est couchée, vous là surveillée bien de temps en temps, je ...
... pense rentrer comme l’autre fois vers 1 à 2 heures du matin.
- Bonne soirée madame, amusé vous bien.
Aucun problème, ça fait six mois que le juge m’a confirmé mon divorce.
Ça fait six mois que chaque samedi soir, j’enfile mes fringues qui plaisent tellement aux hommes et que j’en rencontre un nouveau.
Six mois que je paye une jeune étudiante pour garder ma fille pendant que je trouve des bites à honorer.
La vie de femme célibataire me va comme un gant, je suis assez grande pour m’assumer sans avoir à entretenir un homme qui finit toujours à faire de vous sa bonne oubliant que vous êtes aussi une femme avec un corps qui aiment jouir.
- Bonjours Maître, si je m’attendais à vous rencontrer surtout ici.
- Appelle moi Fanny, Gaby, tu vois je me souviens de ton prénom depuis le jour de ton divorce.
Comment vas-tu ?
Parenthèse dans ma course au sexe masculin, ce soir, Fanny va m’apprendre les amours féminins, j’avais bien vu dans son regard au tribunal que j’étais loin de lui être indifférente sans penser qu’elle était lesbienne.
Je crois que cette nuit, je vais attendre demain matin qu’elle m’amène mon petit déjeuner au lit.
Portable, SMS à Alice.
« Rentrerais au matin, Ambre prend des céréales avec du lait au petit déjeuner, je vous payerais en heures supplémentaires. »
- On va chez toi ou chez moi.
- Chez toi !
- C’est parti Gaby.
Dans son ascenseur nos bouches se rejoignent.