COLLECTION HISTOIRE COURTE. Libre (1/1)
Datte: 10/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... pute, mais comme l’avocate, fringue mettant mon cul en valeur.
C’est le seul compliment que me faisait David.
- Tu as un cul de rêve.
Après notre séparation et pour pouvoir vendre, il a rejoint sa pouffiasse et moi mes deux pièces au-dessous des toits dans de vieilles chambres de bonne.
Revenir sous ce toit avec cette chaleur, une fois habillé, je rentre dans un bar où j’ai vu des hommes entrer.
Je m’installe au bar.
- Whisky s’il vous plait.
- Puis-je vous offrir votre verre ?
- On peut boire tranquille.
- Mal baisé !
L’homme sort un billet et quitte le bar, vite remplacé par un autre.
- Tu prends combien.
- Pardon !
- Pour baiser, tu prends combien ?
As ce moment, je prends conscience que ma liberté entièrement retrouvée et la manière dont je me suis fringuée laissant dans la boutique ma vieille peau de femme de 28 ans, je suis une marchandise mise sur le marché.
- Je vous répondrais bien que les tarifs qu’une pute prend je les ignore et que si tu veux baiser dit moi ou l’on va, si tu crèches autre part que chez mémère.
- J’ai un studio à deux pas, excuse de t’avoir pris pour une travailleuse du sexe.
J’éclate de rire, nous parcourons 200 mètres et il me fait entrer dans un immeuble moderne.
Même si j’ai refusé de me faire payer, quand nous montons, dans l’ascenseur j’ai de nouveau l’impression d’en être une qui vient de lever un pigeon.
Surtout quand il me plaque contre la cloison et qu’il me roule une pelle.
Un ...
... moment je suis à deux doigts de comparer avec ce que David faisait avec ma bouche, mais l’habitude et peut-être l’autre pute, faisait que ses baisers étaient rares.
Une fois arrivé et descendu, il ouvre la porte me fait entrer et avant que j’aie le temps de comprendre, il sort sa queue et m’appuie pour que je descende à l’étage inférieur.
Je sais que les fellations existent, mais quand mon mari, pardon mon ex, me baisait, c’était toujours dans notre lit la lumière éteinte sentant simplement son sexe entrer en moi.
Comment m’avait-il dit, à oui, sa salope baisait mieux que moi.
Je m’applique et je suis à deux doigts de récupérer le fruit de mon travail, il sort de ma bouche, je suis fière je viens de faire ma première fellation.
- Viens !
Non, pas le lit qui est dans cette pièce, pas comme chez papa.
Papa, oui David aimait que je l’appelle papa.
Merde évité de ramener tout à lui.
Non, il a une peau de bête devant une cheminée éteinte, c’est normal on est en juillet.
Il me déshabille s’attaquant à chacun de mes seins qu’il semble apprécier comme eux apprécient aussi, dans les plants missionnaires de David, ils étaient des quantités négligeables.
Il se met nu lui aussi, jean et chemise blanche sont vite à nos pieds.
L’impensable pour moi se produit, il m’allonge, approche sa tête de ma fourche et se met à me lécher le clitoris.
Quand la verge de.
Merde, il me lâche ce mal baiser, la verge de Justin, c’est comme ça que nous nous sommes ...