1. Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (10)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... c’est sans compter sur la frénésie sexuelle de ces salopes. Leurs mains ont vite fait de s’égarer dans leurs parties intimes. Les doigts de Chloé dans la chatte de sa mère, ceux de Marie dans son cul. Mathilde répond à leurs attaques en palpant leurs poitrines. Leurs bouches se rejoignent dans des baisers incestueux. Mère et filles se dévorent, se palpent, se doigtent. Elles se déplacent jusqu’au canapé. Leurs corps s’entremêlent. Leurs langues viennent lécher qui des chattes affamées, qui des anus éclatés.
    
    Je me mêle de la partie et c’est Marie qui embouche mon zob qui, quelques minutes plus tôt, pénétrait le rectum de sa mère. Elle a juste une réflexion : « Ça a le goût de l’huile d’olive ! »
    
    Chloé et Mathilde se gougnotte allégrement. Elles se découvrent dans leur furie incestueuse. Je quitte la bouche de Marie qui héberge ma queue et choisi d’aller faire connaissance avec la gorge de la génitrice de mes chéries. Elle est encore vierge de mes assauts. Ça tombe bien elle est placée au- dessus de sa fille en position de soixante-neuf. J’ai juste à relever sa tête pour la mettre dans la position idoine : bouche et œsophage dans le même alignement. J’introduis ma verge entre ses ...
    ... dents et je pousse inexorablement dans le but d’atteindre sa luette. Sa langue vient s’enrouler autour de mon vit. C’est divin. Elle commence à hoqueter. On voit que c’est la première fois qu’elle en prend autant. J’arrête ma progression pour qu’elle puisse reprendre son souffle. Je la flatte en lui disant que tout va bien et qu’elle apprend vite. Je reprends ma lente avancée. Je suis bien au fond.
    
    Je vais dès lors pouvoir la coïter pendant de longues minutes, interminables pour elle, de délices pour moi ; sa glotte c’est du velours pour ma queue en fusion ; jusqu’au moment où, ne tenant plus, j’éjacule. Mon gland ayant bien pénétré son pharynx elle n’a pas à avaler. C’est seulement au moment où je sors de son orifice buccal qu’elle peut goûter au dernier jet de sperme que je viens d’effectuer. Elle me remercie en ces termes :
    
    — Merci maître pour m’avoir utilisée comme une vulgaire salope et vous être dégorgé le poireau dans ma bouche. C’est un honneur que vous me faite et ça confirme que je ne mérite qu’être votre esclave.
    
    C’est le moment où elle couine son plaisir car Chloé, qui lui travaillait le clito depuis quelques minutes, arrive à ses fins en menant sa mère à l’orgasme. 
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