1. Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres… (10)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Je viens de découvrir que la mère de Marie et Chloé est une salope refoulée ; telle mère, telles filles... J’adore qu’elle m’ait vouvoyé tout le temps de notre fornication ; pour une soi-disant « cul-béni » c’est le comble.
    
    — Putain on peut dire que t’es bonasse malgré ton air de « Je ne suis pas celle que vous croyez ». Je sens que ce n’est pas fini entre nous et qu’on va avoir une belle aventure ensemble. Je vais te baiser à t’en faire crever.
    
    — Non ce n’était qu’un instant d’égarement de ma part. Il ne faut plus recommencer.
    
    — Dis-moi alors que tu n’as pas aimé te faire ravager par ma queue.
    
    — Si ! répond-elle en rougissant, mais...
    
    — Mais quoi ? Tu en veux encore ? Je suis sûr que tu voudrais que je t’encule.
    
    — Vous êtes fou ! Jamais je ne ferai cela, c’est sale et vous êtes trop gros. Pourquoi vous êtes grossier ?
    
    — Parce que tu ne mérites pas qu’on te parle autrement. Je vais te soumettre, comme tes filles. Tu vas devenir mon jouet. Tu as deux fois leur âge il va falloir que tu sois deux fois plus obéissante. Tu seras ma chienne. Tu as compris ou faut-il que je te claque les fesses ?
    
    — Oui j’ai compris. Non ne me fessez pas je vous obéirai. Vous m’avez tellement fait jouir en si peu de temps. J’ai envie d’aller plus loin.
    
    — Demande-moi poliment de te sodomiser et fais-le crument en m’appelant Maître.
    
    — S’il vous plaît enculez-moi Maître. Prenez-moi par le cul.
    
    — Tu vois quand tu veux ! m’esclaffé-je. Allez, penche-toi en avant, les ...
    ... mains sur la console et écarte bien les fesses. Tu t’es déjà fait démolir le fion ?
    
    — Non soyez doux, c’est la première fois.
    
    — Si ton petit trou n’a jamais connu une bite il va falloir l’agrandir avant. Attends-moi je reviens !
    
    Je récupère la bouteille d’huile d’olive et j’en fais couler dans son fondement. Quand j’estime la quantité suffisante j’enfonce progressivement, un, puis deux, puis trois doigts dans son croupion et j’élargis son trou au maximum. J’approche alors ma verge de sa rosette et je franchis ses sphincters par petites poussées. Elle feule mais ne crie pas. Elle semble apprécier. Elle est complètement offerte. Je glisse une main sur sa chatte et je débusque son clitoris que je viens agacer. Je suis entièrement en elle, mes couilles contre ses fesses. Je me déchaîne alors dans une défonce impitoyable, labourant ses entrailles de mes coups de vit brutaux. Ce sont maintenant ses hurlements qui résonnent dans la maison. Elle jouit du cul, c’est énorme. Ma main libre lui massacre la poitrine. Je lui tords les tétons. Jamais une femme ne m’avait autant excité pendant une sodomie. Tant et si bien que, dans une dernière poussée, j’éjacule dans son fondement déclenchant chez elle un ultime orgasme.
    
    Elle a tellement gueulé qu’elle a fini par réveiller ses filles qui accourent, nues et découvrent leur mère qui se fait enfiler par derrière, les mains posées sur la console de l’entrée, la robe relevée et à moitié déchirée, les cheveux défaits, le rimmel coulant de ...
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