Pas d'obligation d'achat
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
enceinte,
boitenuit,
danser,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
attache,
amourdura,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... d’une manière unique de sa beauté, de sa féminité et de tout ce qu’exprime son corps maternel.
Le balancement de ses larges hanches, les ondulations de son ventre gonflé de vie, le frissonnement de ses seins lourds aux aréoles sombres, dressées comme si du lait allait en gicler à tout moment, tout contribue à attirer les regards, agiter les sens, faire monter l’envie de participer à cette orgie sacrée (4).
Lorsque la déesse estime que l’effet érotique de sa danse et de ses incantations est à son comble, elle se retire de quelques pas et laisse les jeunes danseuses poursuivre leurs évolutions dans le public. C’est pour elles le moment très attendu de se lâcher.
Elles virevoltent d’un homme à un autre, sans respect pour les femmes qui les accompagnent, caressant un torse musclé, pinçant un téton, effleurant un sexe qui se tend sous l’assaut inattendu.
Certaines femmes, jalouses ou peu prêteuses, tentent de s’interposer. Peine perdue, les danseuses leur tiennent tête et les caressent à leur tour. Si elles résistent, elles poussent la provocation à son maximum, cherchant à s’emparer de leur bouche ou à masser leurs seins.
Après quelques minutes de ce manège, elles finissent par se calmer et retournent vers la déesse, comme en attente de son bon plaisir. Ariane désigne alors d’un doigt impérieux un des hommes dans l’assistance, sur lequel les filles se précipitent en hurlant.
Avant qu’elle ait eu le temps de se défendre, la proie virile est ligotée avec les ...
... rubans qui tenaient le pagne des danseuses.
Entièrement nues, elles conduisent le malheureux jusqu’à une table placée devant Ariane. Elles retirent vivement ce qui reste de vêtements à la victime expiatrice, puis le font s’allonger sur l’autel du sacrifice érotique.
Déjà amplement bandé et de toute évidence prêt à accepter d’être soulagé, il ne tente pas de s’enfuir, au grand dam de la femme qui l’accompagne et qui préfère détourner le regard de ce spectacle désolant.
Par une litanie chantée d’une voix rauque, la déesse livre le corps de l’homme en pâture à ses acolytes. C’en est fait de sa pudeur et de sa retenue. Les diablesses se mettent à jouer avec son corps et son sexe sans rien se refuser. Elles l’excitent de la bouche et des lèvres avec une habileté démoniaque, le caressent, le lèchent, glissent les pointes de leurs seins entre ses lèvres, allant jusqu’à le forcer à contempler leurs vulves entrouvertes et humides pour mieux assurer leur emprise sur lui.
Rapidement, le gars ne peut plus se contenir et implore un soulagement prochain, ou la mort si telle est la volonté d’Ariane. En l’absence d’un signe de celle-ci, les succubes restent intraitables et poursuivent leur manège. Leurs attouchements sont de plus en plus précis, de plus en plus affolants.
Déchaînée, une des filles s’agenouille même sur le type et frotte son bas-ventre contre son sexe démesurément bandé. Attentive à chaque mouvement de sa victime, elle s’arrête juste avant que l’homme perde pied et ...