1. Pas d'obligation d'achat


    Datte: 27/03/2018, Catégories: fh, fffh, enceinte, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, attache, amourdura, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... d’un autre couple s’est jointe à eux et caresse les fesses du gaillard, pendant que son compagnon, qui ne cherche pas à cacher son imposante érection, malaxe les seins de la nana profondément pénétrée par son amant. Un voyeur s’approche, la queue bien en main. Personne ne semble s’opposer à ce qu’il entre dans la danse.
    
    Malheureusement pour lui, la lumière baisse soudain d’un cran, alors que pour attirer l’attention des convives, une musique orientale se fait entendre, semblable à celle qui accompagne traditionnellement les danses du ventre.
    
    Deux jeunes femmes, à peine vêtues d’un léger pagne, sortent des coulisses. Elles tendent entre elles un long voile coloré, derrière lequel se cache une troisième danseuse. Seuls son visage et ses épaules nues sont visibles.
    
    Le trio s’avance parmi les convives jusqu’au centre de la pièce, où les filles entament une chorégraphie lascive. Malgré tous leurs efforts, un jeu de transparence laisse entrevoir la silhouette de la jeune femme cachée. En particulier son ventre proéminent et ses seins aussi gonflés que ceux d’une nourrice.
    
    Lorsque le voile tombe enfin, une somptueuse Ariane apparaît, costumée en déesse-mère.
    
    Longuement, les deux autres filles tournent autour d’elle, caressent son ventre, ses seins, ses cuisses. Elles profitent de chaque effleurement pour lui retirer une pièce de vêtement, jusqu’à ce que seul un voile translucide cache encore son corps de déesse maternelle à nos regards.
    
    La scène est ...
    ... particulièrement troublante et excitante. Ce n’est toutefois qu’un pâle début. Tantôt côte à côte, tantôt séparées, les trois femmes nous offrent une époustouflante chorégraphie, à mi-chemin entre danse du ventre et rituel maternel tribal (1).
    
    Alors que cet exercice ne semble déjà pas anodin pour les jeunes partenaires, il est à peine imaginable de voir avec quelle légèreté, quelle grâce, quel naturel Ariane, enceinte de près de huit mois, arrive à exécuter les mêmes mouvements des hanches, du ventre et des seins (2).
    
    L’enfant qu’elle porte ne semble en rien changer sa manière de bouger. Bien au contraire, chaque mouvement, chaque ondulation, rendue encore plus sensuelle par cette maternité triomphante, met en valeur le corps de la jeune femme et la rend plus désirable (3).
    
    Néanmoins, tout dans la chorégraphie vise à imposer au public le respect de la déesse-mère, pour mieux reporter les pulsions érotiques et sexuelles sur les deux partenaires. Impossible de se soustraire à la fascination qu’elles exercent. Le jeu des corps et leurs gestes lubriques mettent les spectateurs comme les spectatrices en émoi.
    
    Je ne sais pas ce qui a poussé Ariane à préparer un tel spectacle, ni surtout à s’offrir de cette façon au public. Peut-être était-ce pour elle la manière la plus efficace d’exorciser bon nombre de choses que ses ex ont inhibées ou dévalorisées. Comme d’autres se jettent corps et âme dans des sports extrêmes ou des efforts de longue durée. En attendant, elle nous fait profiter ...
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