1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1056)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... terrible atteignit ma joue me « dévissant la tête » car ne voyant rien, je ne pouvais anticiper le coup. Un autre sifflement se fit entendre qui m’atteignit sur l’intérieur de la cuisse gauche, puis se fut un déluge de coups à l’extérieur des cuisses, à l’intérieur des deux cuisses, sur les deux fesses… et plus on me frappait, plus j’étais excitée et donc un rien m’aurait fait jouir. Au bout d’un moment et subitement, à demi-inconsciente, je fus relevée, renversée en arrière, cuisses très écartées et maintenue ainsi dans cette pose. Les coups s’abattirent sur mes seins, les aréoles, les tétons, et pour finir, mon sexe fur servi également. Je fus encore plus excitée avec un vibro assez longtemps pour faire émerger mon clitoris et quand celui-ci fut assez visible, ce fut à son tour de goûter aux joies de la cravache. Les coups étaient précis, puissants, faisant plier mon clitoris raidi mais sitôt le coup porté, il se redressait par fierté et excitation et les coups suivants tombaient avec la régularité d’un métronome. Je ne peux dire combien de temps dura cette sublime séance mais j’entendis :
    
    - Assez ! Ne l’abimez pas, ce sont les ordres du Maître. (Une voix inconnue !)
    
    Les coups cessèrent mais je restais penchée en avant, fortement tenue par des chaînes. Dans une sorte de « brouillard » j’entendis des voix différentes qui semblaient échanger entre elles de façon joviale.
    
    - Bonsoir Messieurs (reconnaissant celle de Walter), elle est à vous mais ne l‘abimez ...
    ... pas.
    
    La peur m’envahit à nouveau, qui sont ces voix d’hommes ? Des mains commencèrent de me toucher les fesses, les marques :
    
    - Elle est bien marquée, dites-moi, dit le premier
    
    - Ce n’est pas pour me déplaire, dit un autre
    
    Puis des ongles s’enfoncèrent dans mes tétons les étirant fortement, tandis que d’autres mains commençaient de s’insinuer dans ma chatte gluante, trempée… je dis bien main et pas doigts. Un magistral fist alors encombra tout mon sexe car cette main n’eut aucun souci pour pénétrer en moi tellement j’étais excitée par les traitements subis. La séance se poursuivit ainsi, tandis que j’étais soit enculée, soit baisée, je suçais également chaque sexe qui se présentait à ma bouche, même après avoir éjaculé pour le nettoyer disait le propriétaire du sexe. Mes orifices de chienne dégoulinaient de foutre mais cela amusait grandement les hommes et c’est dans cet état que je fus ramenée dans mes « appartements » (Cachot). Tous les autres jours se passèrent de la même manière, coups, privation de sommeil parfois, car il est arrivé plusieurs fois que je sois tirée de mon sommeil pour que tout recommence à nouveau. Au bout de la semaine quand j’entendis la question :
    
    - Acceptes-tu enfin d’appartenir entièrement au Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ? et d’être définitivement Sa chose, Sa chienne et de lui obéir à jamais ? Je répondis, vaincue :
    
    - Oui je l’accepte.
    
    - Remettez-là au Cachot à nouveau, je vais en prévenir le Maître qui décidera ensuite.
    
    Le ...