1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1056)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... complètement remplie. Ne bouge plus du tout.
    
    Je restais immobile totalement. Au bout de quelques minutes, je sentis des vibrations sur le clitoris, qui immédiatement relancèrent mes envies de cul. Les vibrations devenaient de plus en plus intenses et soudain :
    
    - Reprends tes aller et venues, la chienne…
    
    La totale me dis-je, enculée, baisée, excitée maintenant de partout et les coups qui recommencèrent…
    
    - Si tu jouis, je te fouette à sang, dit Helmut, mais ne t’arrête surtout pas la pute…
    
    Un coup terrible me ‘’coupa’’ en deux au niveau des côtes. Je sursautais tellement que je m’empalais brutalement sur les deux godes en même temps encore plus profond. Les vibrations devenaient intenables, j’allais craquer à laisser éclater mon orgasme n’y tenant plus, étant trop excitée quand elles cessèrent, entendant les chaînes remonter mon corps me désempalant totalement, me laissant à la fois, vide et frustrée terriblement de n’avoir pas joui, même si on me l’avait interdit. Je devais avoir tout l’arrière de mon corps marqué, ça me brûlait de partout, j’avais l’anus défoncé et la chatte en feu… Je fus détachée, ramenée devant le trou de mon cachot, redescendue, rattachée au mur puis laissée ainsi à nouveau dans le noir… Une folle envie de me masturber m’envahi alors juste pour m’apporter ce qui m’avait été interdit … Mais au moment où j’allais commencer à me caresser, je n’osais pas continuer et je ne fis donc rien, mais ce n’était pas l’envie qui me manquait de me ...
    ... branler…
    
    3° jour de cachot :
    
    Tandis que j’avais complètement perdu toute notion de temps et d’heure, assaillie par la faim, et que pour ces raisons, je faiblissais physiquement et moralement, si vous y ajoutez les sévices mélangés aux plaisirs excitant, vous comprendrez aisément je pense dans quel état je me trouvais. Mais, je continuais de me révolter, bien que, ce que je vivais ne me laissait pas indifférente surtout au niveau de mon bas-ventre. C’est dans cet état d’esprit que s’annonça le troisième jour. Alors que je tentais de rogner les croutes de pain dur, restées dans l’écuelle, je fus à nouveau extraite du Cachot. Avant de monter parmi les vivants, on me banda à nouveau les yeux… Attachée que je suis à nouveau, la séance de flagellation corporelle, sorte de rituel obligé, recommença. L’ensemble du dos, épaule, reins, fesses, cuisses, tout y passa, me laissant à la fois épuisée mais trempée, oui vraiment trempée par une chatte suintante de cyprine… Une main de pose d’autorité sur ma nuque me faisant comprendre de me pencher ce que je fis… Me voilà exposée, fesses bien présentées craignant le pire… En effet :
    
    - Acceptes-tu définitivement ton état d’objet possédé par le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ?
    
    Pas de réponse de ma part.
    
    - Dans ce cas ! (j’entends un claquement de doigts), puis…
    
    Un sifflement se fit entendre et oh ! dis-je, surprise quand même mais plus par la puissance du coup que par la cravache. Je redressais la tête par réflexe mais une gifle ...