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Putain assumée
Datte: 08/02/2020, Catégories: Anal Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... fort brillante. Peut-être voulait-elle se reposer de la trop grande tension qu'inflige l'exercice quotidien de l'intellect. Elle trouvait dans le muscle et le barbare un repos. Ces costauds imbéciles avec leur queue constituaient pour elle cet havre de paix. Elle concevait cependant que je savais sur ses frasques. Bientôt cela lui parut un inconvénient voire un danger. Son apparente affabilité était pour acheter mon silence. Elle se crut devoir aller plus loin. En effet un soir après que j'eus rejoint mon véhicule, je vis que dans celui d'à côté il y avait mouvement. En gros on forniquait sans façon. Je mis un temps à comprendre que c'était la voiture de Miguel, un bon copain black, notoire étalon. Il se tapait une garce du club. Il le prenait semble-t-il en levrette. Soudain vis à vis de moi un camion s'arrêta qui inonda de la lumière de ses phares tout l'espace et là je vis à près d'un mètre de moi le visage de la femme du patron, yeux exorbités. Elle les ferma un instant puis les rouvrit. C'est à ce moment qu’elle dut me reconnaître tandis que Miguel derrière lui ravageait manifestement son cul. Je dus demeurer un instant interdit n'ayant présence d'esprit de tourner la te^te et de rentrer dans ma voiture. Heureusement soudain le camion éteint ses phares nous restituant à la nuit. Je pris occasion de disparaître te de fuir laissant Miguel finir tout son ouvrage. Le lendemain ce gredin vins vers moi dans la ...
... salle tout goguenard. Il avait vu que j'avais vu. Il me dit : « T'as vu man ce que l'autre pute a pris dans son cul. » Il me dit qu’elle le chauffait depuis longtemps. Il avait mépris en général pour les vieilles peaux mais par dépit presque il avait décidé de lui foutre dans le cul. Elle par contre et pour une fois baissait la tête tâchant de fuir mon regard. De toute façon j'en faisais autant. Il y a avait gêne mutuelle. Miguel par la suite et qui avait pris goût à la salope préférait la sauter au proche parking d'une usine plus loin. Il me dit qu’elle avait accepté qu'il la partageât même un soir avec deux autres blacks de la cité. Ce fut orgie dans le véhicule. Après maints simples et doubles pénétrations elle était parvenue à vider les couilles de tous. Ils lui avaient tous gicler en rigolant leur sperme sur le visage. Je n'imaginais pas qu’elle rentra ainsi souillée jusqu'à son mari. Il est à espérer que celui-ci n'eût pas la moindre idée des turpitudes de sa femme. Je me garderais bien de les lui rapporter. Cela l'eût tué. En attendant j'étais en péril car la garce se mit dans la tête de me neutraliser irrémédiablement. Au début je ne vis point le coup venir. Me voyant papoter avec la bande à Miguel elle était humiliée d’être l'objet de nos plaisanteries. Un an plus tard de toute façon elle eût la sagesse d'émigrer dans un autre club étant grillée dans celui-ci. Un soir elle vint en bus au motif d'une panne ...