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Putain assumée
Datte: 08/02/2020, Catégories: Anal Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Je ne fus pas peu surpris de croiser un jour dans le hall mon chef de service et sa femme. Il avait tout simplement aménager dans mon immeuble sans remarquer que ce put être mon adresse. Nous plaisantâmes d’une telle coïncidence. Mes rapports étaient des plus cordiaux avec lui. c'était au sens profond un brave homme réunissant les capacités de compétence et d'humanité. Sa femme m’impressionnait davantage. Petite brune nerveuse et à la voix coupante, elle vous renvoyait d'emblée dans vos cordes. Elle était l'autorité faite femme. Était-elle jolie femme ? Oui d'une certaine façon mais son style réfrigérait dirais-je et lui enlevait le charme auquel elle aurait pu prétendre. Ses petits yeux clairs et sévères furetaient et semblaient fouiller jusqu'au tréfonds de votre âme. Il y avait chez elle quelque chose d'inquisiteur et de policier. Rien ne semblait pouvoir lui échapper de vos moindres pensées. On baissait malgré soi les yeux devant elle. Ainsi fis-je la première fois. Mon chef conscient de l’inconvénient m'expliqua que sa femme n'était pas si revêche qu'on croyait. C'est sa pudeur qui la fermait ainsi. Je n'en crus rien et la suite me le confirma. C'était une tueuse, une amazone. En effet j'eus une seconde surprise qu'elle s'était inscrite dans mon club de sport où on pouvait indifféremment se muscler, entretenir sa condition et s’adonner à la danse ou autre cours de gym. Lorsque mon chef apprit cet ...
... autre coïncidence il sourit et eu ce propos presqu'amère. « Fort bien vous me rapporterez d’elle si elle est sage. » Ce propos me parut d'abord incongru. Je ne parvins à comprendre ce qu'il suggérait. Par la suite je compris que ce couple était malheureux car la femme était volage. Cette femme d'acier de quarante ans était vêtue toujours de noir et notamment de cuir. Elle ne dédaignait pas les bas, les courtes jupes et les escarpins. Tout cela était limité indécent. Un copain de la gym me dit sans ambages qu’elle Avait des airs de pute. Elle eût vite mauvaise réputation. Il fut confirmé qu’elle draguait les jeunes hommes. Tel le serpent elle les fascinait et subjuguait. Sur le parking dans la pénombre on eût pu voir sa crinière noire émerger sous un volant,t où elle suçait la queue d'un type. Même qu’elle se faisait quasi au su de tous besogner sur la banquette. J'en étais triste pour le patron et en même j’étais gêné quand j’étais amené dans la salle de la gym à la croiser et à devoir un minimum lui tenir conversation. Elle faisait effort d'être aimable avec moi. En même temps je devinais qu’elle me trouvait niais, insignifiant. J'étais mignon garçon mais je ne disposais pas des muscles requis qui l’attiraient chez les autres mâles. Le minet ce n'était pas on truc et puis devant moi me fixant elle me dit un jour tout son mépris pour les genres intello. C'était curieux car cette femme était lettrée et ...