1. Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, ffh, Oral fsodo, policier, Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe

    ... frottant contre mon visage. C’était délicieux.
    
    Je me redressai et enlevai mon t-shirt avant de venir relever mes deux maîtresses. Me plaçant derrière elle, je commençai à lui caresser la poitrine et le ventre, tandis que Rita lui rendait la pareille en mordant doucement ses seins et en tétant les pointes. J’écrasai ma bouche contre la joue de ma belle beurette, sentant son parfum musqué.
    
    Elle frottait ses fesses bombées contre mon bas-ventre. Rita, elle, traçait un sillon du bout de la langue sur le ventre rond de Warda, remontant jusqu’à ses lèvres.
    
    — Oui…
    — Pas bi, avec ça, hein ? chuchota Rita à son oreille, avant de fourrer sa langue dans la mienne.
    
    Warda eut un petit rire qui se transforma vite en gémissement, lorsque je glissai mes doigts dans son jean, défaisant sa braguette. Rita ne lâchait pas ses seins, qui étaient recouverts de salive. Je glissai mes doigts dans la bouche de ma beurette pour qu’elle les suce. Je commençai à sérieusement avoir mal à la queue, à l’étroit dans mon froc.
    
    Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas fait une partie à trois. Et avec deux canons en prime.
    
    Je pris les filles par la main et les entraînai vers la chambre.
    
    Allongée sur le dos, les yeux clos, et les jambes grands ouvertes. Sublime.
    
    Rita gémissait, au fur et à mesure que nos bouches sur ses seins et son ventre devenaient plus voraces, et que nos doigts entre ses jambes se faisaient plus fouineurs. Warda léchait son sein gauche et moi le droit, le ...
    ... mordillant, le tétant, alors que nos doigts s’activaient entre ses cuisses. Rita était en sueur. Elle m’excitait copieusement.
    
    — Oui… Oui…
    
    Warda lui caressait le clitoris tandis que deux de mes doigts allaient et venaient en elle, produisant chaque fois qu’ils sortaient de son vagin un bruit humide discret très stimulant.
    
    — J’en peux plus, gémit-elle. Baise-moi, G. Mets-la-moi.
    
    Mais j’avais d’autres projets pour le moment. Je m’installai entre ses cuisses fuselées qu’elle referma autour de ma tête.
    
    — Oh oui lèche-moi ! Suce-moi la chatte !
    
    J’écartai ses cuisses et la laissai se cambrer un peu mieux ; de cette façon j’avais un total accès à son sexe épilé. Avant de me mettre à l’ouvrage, je levai les yeux vers ma beurette cinglée qui était occupée à lui dévorer les seins frénétiquement.
    
    Je glissai d’abord ma langue de haut en bas sur son sexe, prenant ensuite mon temps pour l’y enfoncer, sucer ses lèvres et boire son mets intime. Elle dégageait une odeur fauve qui s’insinuait en moi, dans toutes les cellules de mon corps. Elle s’arqua en gémissant et je plaçai mes mains sous ses fesses pour ne pas la laisser s’échapper.
    
    — Hmm…
    
    Sa cyprine coulait sur ma langue, c’était divin. Warda libéra enfin ses seins pour venir m’embrasser, goûtant ainsi à son intimité du même coup. Elle fourra sa langue dans ma bouche.
    
    Je n’en pouvais plus. J’empoignai mon sexe tendu à la bloc et m’enfonçai en elle jusqu’à la garde, mes couilles butant contre son sexe. Elle hurla et ...