1. Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fh, ffh, Oral fsodo, policier, Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe

    ... ressentir.
    
    Wilson fut relevé par deux flics alors que le chauve s’adressait à nous :
    
    — Vous voulez bien nous suivre pour une déposition ?
    
    Je n’aurais jamais cru sourire autant en me rendant dans un commissariat.
    
    ***
    
    Je m’écroulai sur mon lit. Il était dix-sept heures et j’étais lessivé. Dire que je bossais le soir-même ! Cela me semblait irréel.
    
    Rita et Warda cassaient la croûte dans le salon en regardant la télé.
    
    Elles n’avaient pas l’air traumatisées par tout ça. Tant mieux pour elles.
    
    Depuis deux heures, mon portable n’arrêtait pas de sonner : Ice, Since et les gars du quartier qui n’en revenaient pas de ce qui m’était arrivé. Après avoir raconté cinq fois d’affilée la même histoire, j’avais mal au crâne.
    
    J’étais franchement crevé et je voulais dormir un peu avant de me rendre au taf. Mais je n’allais pas y arriver. Quand même, ce n’était pas rien, cette histoire.
    
    Warda éclata de rire à côté. Quelle folie furieuse, cette nana. Les femmes de nos jours sont devenues des lionnes, des combattantes, plus solides que la plupart des mecs. Enfin, je dis pas ça pour moi, on a sa petite fierté quand même.
    
    Mais je restais admiratif devant leurs forces. Et ça m’excitait, aussi, pour être honnête.
    
    Bon, autant être lucide, je n’allais pas fermer l’œil. Et d’ailleurs ce serait criminel de s’endormir avec deux bombes sexuelles dans mon salon. Si jamais mes potes apprenaient ça…
    
    Je pris dans ma commode des habits propres et traversai le ...
    ... salon.
    
    Warda était assise sur une chaise, les seins nus, et Rita assise sur elle, la caressant et ondulant du bassin, tout en l’embrassant fiévreusement.
    
    — Bah voyons ! fis-je.
    
    Deux assiettes sales étaient empilées sur la table, avec des couverts et une bouteille de jus d’orange. Il était inutile que j’aille ouvrir mon frigo ; les emballages vides sur la table prouvaient qu’elles m’avaient dévalisé !
    
    Sans faire attention à moi, Warda ôta le t-shirt que Rita avait enfilé et sous lequel elle était nue.
    
    Elle se mit à lui lécher doucement les seins, la faisant gémir. Je me rapprochai doucement, sentant déjà ma queue se préparer au combat.
    
    Laissant tomber mes vêtements propres sur le sol, je pris Rita par les épaules. Elle rejeta la tête en arrière, les yeux clos. Je passai mes mains sur son ventre et sa poitrine, sentant la langue de Warda venir me chatouiller les doigts. Je pressai délicatement les mamelons de Rita pour les faire ressortir et les offrit à téter à ma belle beurette cinglée, ce qu’elle fit avec enthousiasme ; les gémissements de sa compagne aidant.
    
    Je m’accroupis et embrassai Rita dans le cou, sans cesser de lui malaxer les seins, un peu plus excité chaque fois que la langue de Warda dérapait sur mes doigts.
    
    — Hmm…
    
    Je glissai ma langue sur la joue de Rita, et sur sa bouche lorsqu’elle tourna légèrement la tête. Warda suçait ses seins à tour de rôle et dardait vers moi des yeux de braise.
    
    Rita gémit, ses cheveux mouillés par sa douche récente ...
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