Astrid et Julia (17)
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... Astrid, car je l’aime tout autant.
Tout à mes pensées, je ne m’étais pas rendu compte qu’Astrid avait ouvert les yeux. Elle se retourne sur le dos, me vois éveillé et me dis :
— Prends-moi mon chéri, j’ai envie de toi.
— Tu es sûre ? Tu ne veux pas reposer ton corps meurtri ?
— Non, prends ma chatte uniquement, ça va aller.
Je me penche sur elle, embrasse tendrement ses lèvres et je descends vers son puits d’amour. Je la lèche lentement, son corps frémit. Je débusque son bouton que je suçote. Elle pousse de petits cris.
— Viens, je t’en supplie, fais-moi l’amour. Ne me baise pas... j’ai besoin de douceur.
Je me mets alors sur elle et dirige mon sexe vers son antre brûlant. Elle m’accepte sans problème. Elle mouille au maximum. Je la serre dans mes bras – elle a un peu mal suite aux coups de fouet et elle le manifeste quand je touche un point sensible. Nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux. C’est sans heurt que je la mène au plaisir et que je finis en elle.
— Merci, mon chéri, j’en avais besoin après cette nuit. Je t’aime.
Je me lève pour faire un brin de toilette. Quand je reviens, la mère et la fille sont dans les bras l’une de l’autre. Elles se parlent, je les écoute discrètement :
— Oh, ma petite maman, comme tu as souffert. Le grand black avait un sexe énorme et il n’a pas arrêté de te défoncer la chatte et le cul à la vitesse d’un marteau piqueur.
— Oui, mais toi, vu ta jeunesse, tu as été la reine des clodos. Se faire une ...
... petite minette c’était un rêve inespéré pour eux. Pour le nain, tu as été sa préférée. Je suis sûre qu’il est tombé amoureux de toi. Il t’a épargnée malgré la taille hors-norme de son sexe.
— Tu sais qu’il m’a fait jouir plusieurs fois, j’ai honte. Tu te rends contre, j’ai eu du plaisir avec un monstre !
— Tu n’as pas à t’en vouloir, moi aussi j’ai eu de somptueux orgasmes avec le grand noir. Il était tellement endurant que je n’en pouvais plus, j’avais hâte que ça s’arrête.
— Oui, mais ils étaient tous laids, ils puaient et ils avaient des haleines de chacals. C’est anormal que l’on puisse avoir de la jouissance avec de tels repoussoirs.
— Je crois surtout qu’on voulait se transcender auprès d’Hervé pour lui montrer ce que l’on pouvait faire pour lui. Je crois qu’après cette soirée, je suis encore plus amoureuse de lui. Il vient de me faire l’amour et je ne me suis jamais sentie aussi bien.
— Vous venez de faire l’amour ? Oh comme je t’envie. Rien qu’à cette pensée, ma petite chatounette est déjà ruisselante. Moi aussi je suis folle de lui. Jamais je n’aurais cru qu’un homme puisse me faire autant d’effet.
Rien qu’à ces paroles, je bande à nouveau. Je m’avance vers elles et je dis à Julia :
— Viens dans mes bras mon tendre amour. Sens comme je te désire moi aussi. Je vais te faire jouir comme ta mère, doucement, sans violence.
Je la serre fortement. Elle peut alors apprécier la dureté de mon vit contre son ventre. Je me baisse légèrement et je m’introduis ...