1. Astrid et Julia (17)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... bien au fond, il lui dit :
    
    — Prépare-toi, je vais te défoncer le fion. Tu vas souffrir, mais ça ne durera pas longtemps.
    
    Commence alors la destruction systématique du cul de Julia. Elle hurle à chaque nouvel enfoncement de la bête monstrueuse qui, dans une ultime poussée, crache son venin abondant dans ses entrailles.
    
    Elle est morte de fatigue et s’écroule au sol. Sa mère a subi le même sort, mais son bourreau n’a pas été aussi indulgent. Il lui a craqué l’anus et la chatte alternativement sans aucune précaution ni aucun lubrifiant. Elle est dans un état semi-comateux. Son corps est brisé par les douleurs multiples qui l’assaillent.
    
    Il est cinq heures du matin, ça fait plus de huit heures que mes femmes subissent des assauts et des sévices hors du commun. Elles sont méconnaissables, couvertes de foutre, leur corps est zébré par les coups de fouet reçus, elles puent. Je récupère leurs robes et le majordome m’aide à les ramener à ma voiture où nous les installons sur le siège arrière. Elles s’endorment immédiatement, recrues de fatigue.
    
    Je dis au revoir à notre hôte et le remercie pour son aide. Il me dit qu’il est ma disposition si j’ai d’autres femelles à dresser.
    
    Arrivés à la maison, je porte l’une après l’autre mes femmes dans la grande douche à l’italienne. Pendant plus d’une heure, je vais les laver doucement et tendrement - elles n’ont pas la force de le faire – les astiquer pour effacer les traces de leur nuit éprouvante, leur faire un lavement pour ...
    ... les purifier. Je passe ensuite une crème cicatrisante sur leurs plaies. Elles ne prononcent pas une parole. Elles sont trop fatiguées.
    
    Après les avoir essuyées, je les traîne quasiment vers le lit où je les allonge. Je me couche entre elles. Dans un mouvement instinctif, elles se pelotonnent contre moi, tendrement. Julia pose sa menotte sur mon sexe en pleine érection, la main de sa mère vient la rejoindre. Elles vont alors me branler de concert jusqu’à extraire mon jus de couilles qui met peu de temps à s’échapper vu mon état d’excitation et la douceur de leurs gestes.
    
    Nous nous endormons alors d’un profond sommeil réparateur.
    
    Je me réveille alors qu’il fait jour. Je regarde le réveil, il est dix-sept heures. Mes femmes dorment toutes les deux en chien de fusil. Leur sommeil est paisible. Qui pourrait penser qu’elles ont subi de rudes épreuves les heures précédentes. Elles sont belles comme ça, leur visage détendu, sans défense. On peut voir néanmoins les séquelles de leur soirée : leur anus encore boursouflé et à moitié ouvert, les striures qui couvrent leur corps, les rougeurs sur leurs fesses.
    
    De les voir ainsi, ça me donne la trique. Quelle belle preuve d’amour elles m’ont donnée. Accepter de se faire avilir ainsi c’est sublime de leur part. Comme j’aimerais que nous puissions vivre ensemble tous les trois et pouvoir nous réveiller chaque matin dans le même lit. Je pourrai le faire avec Julia comme un couple ordinaire, mais je ne veux pas faire de peine à ...
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