CHAPITRE 16 : Union
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Cramache, Source: Hds
... peu à peu son calme, bien que toujours fébrile. Le rejet de sa mère est une tâche dans sa vie qu’il n’arrivera jamais à éliminer. Tout ce qu’il peut faire, c’est tenter de comprendre que cette femme a fait un choix, non pas celui de le rejeter lui, mais plutôt de lui laisser une chance d’avoir une vie meilleure. Je ne prétends pas savoir ce qui s’est passé dans la tête de sa mère, mais je me dis qu’elle aurait pu tout simplement disparaitre et mettre au monde son enfant sans prévenir son père. Au lieu de ça, elle a été trouvée le père de l’enfant, en sachant qu’il pourrait assumer son rôle. Elle a fait un pari sur l’avenir de son fils à naitre qui a réussi. Sylvain n’est pas prêt à entendre cette vérité.
La maison est toujours en vente, il y a eu plusieurs visites et chaque fois, c’est pareil. La maison plait, sauf qu’elle est mal située. C’est une maison faite pour une famille, mais les familles veulent être plus près des grandes villes, tout en restant à la campagne. J’ai bien eu une offre au prix que j’en demande, les gens l’ont retirée parce qu’ils ont trouvé mieux ailleurs. Je désespère de la vendre enfin. Pas que j’ai besoin d’argent, je veux juste tourner la page. Sylvain semble apprécier les lieux, il ouvre des yeux ronds. Il s’avance vers l’entrée, et j’ouvre avec ma clé :
-C’est chez toi, ici ?, demande-t-il en tournant sur lui-même. La maison de tes parents ?
-Oui, j’essaye de la vendre, c’est pas facile.
-Pourtant, elle est superbe, tout est refait à ...
... neuf.
-Seul hic, elle est loin de tout, ça fait peur aux acheteurs.
-Pourquoi tu ne la gardes pas ?
-Elle est trop grande pour moi, pardon pour nous. En plus, elle est char-gée de trop de souvenirs douloureux. Ce n’est plus chez moi, ici.
-Je comprends, pourtant tu as envie de la garder, ça se voit dans tes yeux.
-Je l’admets, une part de moi a déjà pensé à comment je la meublerais. Je nous ai imaginés dans ce salon, devant la cheminée, en hiver, et derrière nous il y a le fantôme de mes parents.
-D’accord, je saisis mieux, maintenant. Je t’aiderai à trouver un acheteur.
-Avant, suis-moi.
Je l’emmène dans le jardin, et on s’installe dans l’herbe avec la glacière que j’ai emmenée avant de partir. Sylvain ne tient plus et m’embrasse longuement en massant mon sexe. Il arrache presque mon bermuda et gobe ma queue d’un coup en s’étouffant. Je pousse un han de plaisir, et je glisse la main vers son anus pour le doigter. Il s’allonge pour me faciliter le travail, et j’enfonce deux doigts humides en lui. Il se cambre de plaisir. Très vite, je perds la tête, et je baisse son bermuda pour lécher son trou en le doigtant. Sans m’en rendre compte, il a cessé de me sucer, et il lève les fesses. Je me redresse, je crache dans ma main.
La pénétration se fait en douceur. Je pose mon gland contre son trou, il ne bouge pas. Je le sens tendu, alors, je me branle entre ses fesses. Ça fait long-temps que je rêve de le faire. Je masse ses reins, il se détend. Je tente de ...