1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (18/23)


    Datte: 04/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... poitrine à l’air et le garçon a ses seins dans ses mains tirant dessus comme s’il voulait les lui arracher.
    
    • Gille, il y a quelqu’un !
    
    • Quelqu’un ?
    
    • Oui derrière toi, deux dames.
    
    • Ne vous dérangez pas pour nous les jeunes, on ne fait que passer, savez-vous où sont Fabrice et Louisa ?
    
    Ça n’est pas sympa, la bite du garçon ripe du vagin de la gamine, avant qu’il ne remonte son pantalon et cherche à s’échapper, je le rattrape par le bras l’empêchant de partir.
    
    • Où allez-vous jeune homme, est-ce une façon de laisser une femme en plan, nous avons simplement besoin d’un renseignement, je vous le redemande où sont Fabrice et Louisa.
    
    • Madame, le camion qui livre les truites est tombé en panne, le patron a fermé jusqu’à demain, je donnais un coup de main à Odile à nettoyer le restaurant.
    
    • J’ai plutôt eu l’impression que tu lui ramonais le conduit, pourtant la cheminée est derrière toi et semble en parfait état de propreté.
    
    • Madame, je vous en supplie, je veux devenir cuisinier et le patron est un bon chef, il me serait dur de retrouver une aussi bonne place.
    
    • Je te comprends, une place où la serveuse te dépucelle, ce serait difficile à retrouver, alors où sont-ils ?
    
    • À la source bleue, ils aiment y monter quand ils le peuvent, c’est là qu’ils se sont connus.
    
    • Tu vois quand tu peux, tu sais donner les bons renseignements, allez va finir ce que tu as commencé.
    
    Odile, un conseil, fait lui une légère fellation si tu veux qu’il finisse de ...
    ... te ramoner, notre venue l’a déconcentré et il bande moue.
    
    Sans savoir si elle le fait, je retourne vers la cuisine.
    
    La vue de ce couple ou le parchemin toujours aussi frustré que je l’ai abandonné me fait mouiller, j’ai encore une envie impérieuse de me faire sauter, ma chatte me brûle malgré la journée que je viens de passer.
    
    • Il fait encore assez jour, montons à la source bleue, faire du sport nous sera bénéfique, on passe nos journées allongées sur le dos, les cuisses ouvertes, en route.
    
    La source est à moins de cinq cents mètres de la route, le chemin s’élève, il fait juste jour dans le sous bois et il nous faut faire attention, il est en mauvais état et surplombe le petit ruisseau qui rejoint le petit pont à côté de la terrasse du restaurant de Fabrice.
    
    À cette époque, l’eau sortant du dessous d’une faille dans la petite falaise qui surplombe le genre de vasque la recevant est ridicule, sécheresse oblige.
    
    Martine me tient la main, elle semble avoir peur du noir qui commence à tomber, un bruit d’eau brassé se fait entendre, elle se colle à mon bras.
    
    • Tu as entendu !
    
    • Bien sur, regarde dans l’eau, deux personnes se baignent, je crois que l’on a trouvé Fabrice et Louisa.
    
    Le couple nage, l’endroit permet de brasser, mais très vite il la rattrape.
    
    Louisa saute au cou de Fabrice qui lui prend la bouche, il est encore costaud, mais une pierre plate fait leur bonheur, il la dépose dessus et se couche sur elle.
    
    • Fabrice avec le froid de l’eau, ...