1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (18/23)


    Datte: 04/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... J’ai faim, Anabelle, as-tu quelque chose à grignoter ?
    
    • Martine, viens avec moi, j’ai quelques plats dans un frigo avec quelques bouteilles de champagne que le père de la dernière mariée a oublié.
    
    Il faut dire qu’il est parti comme un voleur, quand sa femme l’a surpris à sauter une de nos extras dans les chiottes.
    
    Toutes les deux se lèvent, Martine a défait le chignon d’Anabelle, les lunettes sont sur le lit, je tends la main, les verres sont sans aucune correction, ce doit être un subterfuge pour paraitre plus sérieuse.
    
    C’est vrai que nue et sans, elle fait très jeune fille de bonne famille.
    
    Qui n’a pas mangé mollement, allongé sur des draps de soie, ignore le plaisir que l’on prend à passer ses mains dessus, le champagne coule divinement dans ma bouche.
    
    Ma chatte est toujours en ébullition, je suis à deux doigts de me vider du divin nectar à l’intérieur pour la refroidir, mais la bouche d’Anabelle proche de ma grotte m’empêche de faire ce geste sacrilège, pour le champagne bien sûr.
    
    Le parchemin a fait de moi une telle salope qu’il m’aurait été facile de me mettre le goulot de cette bouteille et de l’enfoncer profondément en moi.
    
    Après nous êtes bien sucées puis frotter les chattes avec autant de plaisir, Martine et moi dans un mouvement de replis quittons la chambre après qu’Anabelle et Jennifer dans un dernière orgasme réciproque et sonore se soient endormies.
    
    Jennifer suce son pouce, quel joli bébé.
    
    • Tu prends ta voiture, il est ...
    ... dix-sept heures, après manger nous repartons chacune de notre côté.
    
    Nous remontons la gorge et à la hauteur de l’élevage de truites, un camion avec des citernes à l’arrière est arrêté, une voiture de dépannage d’une marque française travaille sous le capot.
    
    J’arrive chez Fabrice, la porte est fermée, une affiche est sur la porte.
    
    « Pour cause de manque de matière première, le restaurant sera fermé exceptionnellement ce soir. »
    
    Martine me rejoint.
    
    • Tu as vu le camion, Fabrice n’a pas dû avoir ses truites.
    
    • Viens, voyons s’ils sont dans la cuisine, voyons si la porte est ouverte.
    
    • Tu sembles bien connaître la maison.
    
    La porte est fermée mais non fermée à clef.
    
    La cuisine toujours aussi nickel attend qu’on la réveille, comme lors de ma visite précédente quand j’ai surpris Fabrice baisant sa jeune serveuse.
    
    Des roucoulements que je connais trop bien se font entendre venant de la salle.
    
    La table où mon copain baisait est vide, mais les cris viennent de la deuxième salle de restaurant, je m’approche.
    
    Odile, la jeune dépucelée semble aimer les tables de salle de restaurant.
    
    La première fois, elle était de dos, la queue de son patron la prenant par derrière.
    
    Là, un jeune homme avec une blouse de cuistot, le pantalon tirebouchonné aux pieds, la prend alors qu’elle a le dos sur la table, les jambes pendantes dans le vide.
    
    Je vois la verge du garçon entrer et sortir, il fait partie des bien montés, plutôt des longues verges.
    
    La fille a la ...