1. Tina une nouvelle épreuve de Son Maitre (2)


    Datte: 04/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tina chienne soumise, Source: Xstory

    ... Provocante, j’aiguise la jalousie, l’envie, la débauche, mais je ne laisse personne indifférent.
    
    A la sortie, un petit air frais me fait frissonner. La main de mon Maître passe sur mon dos, remonte jusqu’à mon cou, un doigt saisit un anneau du collier et me tire à lui. Nos lèvres s’approchent, se collent, s’ouvrent. La langue de mon Maître pénètre ma bouche, m’envahit, prend possession de ma bouche, de ma langue. Je fonds littéralement sous ce baiser enflammé. Le corps de mon Maître se plaque contre moi, je sens contre mon ventre son sexe qui se tend. Nous restons un bon moment enlacés. Mon Maître se recule, me libère de cette étreinte, me regarde, me jauge un long moment.
    
    Le vent frais passant sur mon corps fait ériger mes tétons qui se dressent sous le tissu.
    
    — Tu es une belle salope, ma chienne, tu me fais bander, mais ce n’est pas encore le moment.
    
    Mon Maître me prend le bras, et me tire pour marcher sur le trottoir. Je le suis docilement ; mes pas à son rythme, me balançant à chaque pas, roulant des hanches. Mon Maître prend plaisir à me faire marcher comme cela à côté de lui.
    
    La pression de son bras sur le mien, à chaque fois que l’on croise quelqu’un, m’oblige, me fait sentir son désir d’être encore plus provocante. A chaque fois, je me redresse, me cambre encore plus, relève la tête fièrement. Je sens, j’imagine, les regards me détaillant, insistant, parfois. Je ne sais pas où mon Maître m’entraîne, mais je le suis, de plus en plus excitée d’être avec ...
    ... lui à son bras, fière d’arborer ce collier qu’il vient de m’offrir.
    
    Nous remontons plusieurs rues, puis mon Maître me guide vers une voiture garée le long du trottoir. Mon Maître ouvre la porte : « monte », je reste sur le trottoir un moment. Mon Maître prend plaisir à me faire mijoter. À côté de la voiture, je n’ose pas bouger. De longues secondes passent, avant que la portière-passager s’ouvre :
    
    — Monte.
    
    Je me glisse dans la voiture, me cale au fond du siège. Au lieu de démarrer, mon Maître me fixe, d’un regard que je connais bien, celui du Maître qui observe sa victime, du prédateur qui va abuser de sa proie. J’en frémis de plaisir, d’angoisse. Une main se pose sur ma cuisse, la remonte doucement, trouve mon intimité, la fouille sans ménagement. Je ne peux que gémir de désir. La main se retire, ses doigts se posent sur mes lèvres, que j’ouvre instinctivement. Ma bouche s’ouvre pour sucer ses doigts mouillés de ma chatte. Mon Maître les retire, caresse mon cou, descend sur mes seins, dégage les pans de mon chemisier, entre pouce et index, mon Maître emprisonne mon téton gauche, le serre puis le vrille. Je ne peux retenir un râle. Mon Maître insiste, je me mets à vibrer, à frémir, folle, excitée, femelle.
    
    Tout mon corps est traversé de soubresauts, mélange de douleur et d’excitation. La pression se relâche, j’ai le souffle rapide :
    
    — Quitte ta veste.
    
    L’ordre tombe, je ne pense même pas à le discuter.
    
    — Sors.
    
    Je m’exécute sans autre forme de procès. ...