Tina une nouvelle épreuve de Son Maitre (2) - Histoires de Sexe

Tina une nouvelle épreuve de Son Maitre (2)

A quelques pas de là, un restaurant discret, nous entrons. Je suis surprise par l’ambiance chaude, par la lumière tamisée qui donne une atmosphère de sérénité. Une table ronde avec deux couverts. Assis l’un en face de l’autre, très proche. Les fesses posées sur le bord de la chaise, les mains à plat sur la table, mon Maître me dévisage sans dire un mot.

Doucement, je sens son pied entre mes chevilles remontant le long de ma jambe puis entre mes cuisses, forçant un peu pour m’ouvrir. Je ne fais aucune résistance, mes cuisses s’ouvrent au maximum.

Les yeux dans les yeux, il m’observe :

— Ouvre un bouton de plus à ton chemisier.

Ce que je fais tout de suite, tout en sentant monter en moi un mélange de plaisir et de honte.

— Voilà qui est mieux, tu es bandante comme ça, j’aime te voir ainsi.

Le serveur s’approche, sans me demander mon avis, mon Maître commande le repas. Je suis un peu surprise ; un repas très simple nous est servi, juste une salade et un dessert. Voyant mon étonnement, mon Maître me sourit, et me dit :

— C’est une salade tonique qui te donnera de la force sans peser sur ta digestion, car la soirée ne fait que commencer.

A nouveau, un doute, une angoisse m’envahissent, même si je sais que si je suis venue chez lui, ce n’est pas pour une balade.

Le repas se passe, nous papotons, comme un vieux couple, de tout et de rien ; aucune allusion à ma condition de chienne. A la fin du repas, mon Maître pose ses mains sur les miennes, me regarde ...

... droit dans les yeux :

— Tu es magnifique, j’aimerais te garder pour moi, mais j’aime aussi te voir chienne et être baisée pour moi.

Mon état d’esprit change, une bouffée de chaleur m’envahit, je ne suis plus la compagne de mon Maître, je reprends ma place, je suis sa chienne.

— Pour te remercier d’être venue, j’ai un petit cadeau pour toi.

Mon Maître sort un paquet bien enveloppé dans du papier cadeau.

— Tiens, c’est pour toi.

Hésitante, je le prends, et d’un grand sourire, je dis "Merci, mon Maître" et j’ouvre le paquet. Dans la boîte, un moment de surprise, je vois un collier en cuir très large, une grosse boucle pour le fermer à mon cou, plusieurs anneaux.

— Tu vas être belle avec ce collier ; la plus belle des chiennes.

Partagée entre la fierté et la honte d’être vue ainsi, devant tout le monde, hors d’un groupe d’initiés, Mon Maître se lève et vient me le passer.

Tétanisée, prise d’une bouffée de chaleur, sentant des regards sur moi, un mélange d’excitation, de plaisir, mais aussi une gêne.

Une fois, à mon cou, je sens les lèvres de mon Maître sur ma peau, un doux baiser ; et à l’oreille, il me chuchote :

— Tu vas être la reine des chiennes ce soir, je veux être fier de toi.

Ses mains sur mes épaules, il me dit : "Viens". Je me lève, et je suis mon Maître, je sens des regards sur moi. Fière, je marche à petits pas, mes talons claquent sur le sol. Bien droite, les épaules en arrière, je sens les regards inquisiteurs des autres admiratifs. ...