53.7 Mourad
Datte: 03/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... vite, le jeune reubeu se relève, se débarrasse de son t-shirt bleu, dévoilant ainsi un joli torse naturellement imberbe, une plastique tonique, sans être vraiment musclée ; à l’évidence, le mec n’est pas un adepte de salle de sport ou de terrain de jeu ; pourtant, son torse et son cou élancés constituent une brûlante invitation au plaisir. Sa peau basanée, douce et soyeuse, est aussi appétissante qu’un croissant de boulangerie encore tiède ; et ses deux beaux tétons bien bruns, bien sombres, donnent franchement envie de croquer dedans.
Et lorsqu’il descend son jeans et son boxer, c’est une belle queue tendue qui apparaît devant mes yeux. Là aussi, c’est très sombre ; de par une pilosité assez importante, mais aussi et surtout de par la couleur bistre de son service trois pièces, couleur assortie à celle de ses tétons. Un charmant code couleur semblant tracer la géographie des zones érogènes de ce beau petit mâle.
Mourad est à poil, la main sur sa queue, cette queue que, comme d’habitude, je ne peux m’empêcher de comparer à celle qui me rend dingue, celle de mon bobrun … mais au fond, les centimètres ont une importance relative, lorsque le plaisir qu’on recherche est celui d’offrir du plaisir à un beau garçon.
« Allez, viens me sucer… » me balance le sexy Mourad sur un ton d’impatience.
Si en plus il me parle comme Jérém, comment me concentrer sur l’instant présent…
Pendant que je me mets à genoux, je me revois me mettre à genoux devant mon Jérém une heure plus ...
... tôt dans l’entrée de son immeuble… quand je pense qu’on a failli se faire gauler. Je regarde cette jolie queue bistre tendue devant mon nez, mais c’est de la queue de mon Jérém dont j’ai envie…
« Allez, suce… on va pas y passer la nuit ! » s’impatiente le mec.
Sa peau dégage une odeur fraîche et fruitée, j’adore ce genre le gel douche. Une petite odeur tiède de transpiration s’y mélange, ce qui n’est pas fait pour me déplaire.
J’entreprends alors de le sucer, bien déterminé à m’appliquer pour lui faire plaisir. Je porte les doigts à ses tétons pour le titiller, mais très vite ses mains interviennent pour dégager les miennes.
« J’aime pas ça… » je l’entends me lancer. Comme quoi, les codes couleur peuvent parfois être trompeur.
Je continue de le sucer, du mieux que je peux. Pourtant, j’ai vite l’impression que je n’arrive pas à lui faire plaisir. J’ai du mal à trouver les bons boutons, les cordes sensibles. Avec Jérém, je sais exactement où toucher, caresser, lécher, pour le faire monter au rideau. Avec Mourad, ce n’est pas du tout le cas : oui, c’est vrai, je ne connais pas son corps ; mais, surtout, le cœur n’y est pas.
De plus, Mourad n’est vraiment pas du genre très expressif ; ça fait déjà un petit moment que je le suce, j’ai essayé à peu près tous les trucs qui peuvent faire délirer un mec… pourtant, pas un gémissement, pas un mot, sa respiration ne semble même pas s’affoler.
Je finis par me dire que je suis vraiment mauvais. Une sensation qui semble ...