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histoire dun couple algerine
Datte: 02/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raoulusa, Source: xHamster
... fidèle… Je suis une putain oui, mais sans client, « ta » putain. Ce n’est pas à moi de chercher des clients, mais à toi si ça t’excite vraiment d’être mon petit « cocu » chéri… puisque tu aimes ce mot. Une fois encore, elle me cloua le bec en m’embrassant goulûment. On tournait autour du pot depuis un moment, mais là, elle venait de se dire prête à franchir le pas si je le voulais. Pour échapper à une réponse qui me faisait peur, je l’ai prise avec vigueur, et on s’est étourdis. J’avais conscience d’être lâche, de ne pas assumer mes désirs fous. Nous continuâmes nos jeux coquins, nos délires sans revenir trop près en parole d’un passage à la réalité pour ne pas avoir à nous retrouver à nouveau devant une décision. Abdelkader venait chaque soir, et lorsqu’il pleuvait et que nous ne sortions pas le week-end, il passait désormais une heure l’après-midi pour boire un café disait-il, peloter Akila traduisais-je. Il devenait de plus en plus audacieux lorsque je m’éclipsais. Akila continuait à le retenir sans vraiment le repousser. Elle m’a dit avoir été enlacée à plusieurs reprises et avoir nettement senti son érection. _Yekkeras d webbuc-is, yerrayit id ar u3abud-iw … Lorsque soudain la boîte la société de Akila (SONATRACH) la licencia, ce fut d’abord un coup pour notre équilibre. Très affectée, elle promit de s’activer pour chercher un nouveau travail, et je la savais compétente, débrouillarde, mais je savais ...
... surtout qu’elle allait être plus présente chez nous, donc sans moi, à la merci d’un vieux cochon opportuniste, et elle aimait les vieux cochons. Abdelkader feignit d’être affecté, certainement ravi au fond de lui, et dit de ne pas nous inquiéter pour le loyer. Ses propos me revenaient en mémoire… En y réfléchissant, cette catastrophe n’était pour moi que matérielle. J’avais envisagé d’économiser pour nous construire au plus vite une maison, et la perte du salaire de Akila ne contrariait en fait que cela. On avait le temps finalement, et j’ai relativisé. Pour le reste, je me surpris à penser qu’il allait enfin se passer quelque chose à laquelle je n’avais pas osé dire oui, mais que je souhaitais au fond de moi. Bizarrement, bêtement peut-être en raison du risque de corrompre ma jeune mariée adorée, mais cela m’excitait, je devais me l’admettre. Akila consacra sa première semaine de chômage à démarcher les entreprises locales, et profita de sa présence en ville pour venir me chercher au travail. On rentrait ensemble et ABDELKADER n’eut pas le loisir d’en profiter pour se manifester. Je le fis remarquer un soir à Akila. — C’est mieux comme ça, non ? On rentre ensemble. Si je rentre avant toi, il va sûrement se précipiter… mais c’est peut-être ce que tu désires, me savoir seule avec lui ? Dis-moi… — Eh, tu veux une autorisation ? Fis-je amusé — Ay aghyul ! lança-t-elle. Mon mari est un idiot, hi, hi ! Je suis toujours ta femme fidèle, ...