1. Texeros (1)


    Datte: 01/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: jpe, Source: Xstory

    ... écoutait, à la fois étonnée et curieuse. Le soir s’approchait, baignant le salon du voyant d’une douce pénombre. Était-ce la voix chaude de Marco, la révélation de la lettre qu’elle ne quittait pas des yeux, ou bien les images de ces temps anciens où elle fût courtisane ? Je ne sais, mais tout cela éveillait en elle de troublantes sensations, fourmillements, frissons, bouffées de chaleur.
    
    “Je te sens troublée, émue, viens sur le canapé, nous y serons plus à l’aise pour parler de tout cela, veux-tu boire quelque chose ?”
    
    “Oui, je veux bien un peu d’eau.”
    
    Marco alla chercher une carafe d’eau fraîche, quand il revint, Maria était sur le canapé, la tête en arrière, pensive.
    
    “Vraiment, dit-elle, crois-tu qu’il s’agît vraiment de moi, dans cette lettre ?”
    
    “J’en suis sûr. Et puis si tu en doutes, rien ne peut t’empêcher de vérifier par toi-même.”
    
    “Que veux-tu dire par-là ?”
    
    “Je veux dire qu’il ne tient qu’à toi de vérifier si les aptitudes de ton corps correspondent aux descriptions qu’en fait la comtesse du Barry.”
    
    “Tu n’es pas gêné, je vois très bien où tu veux en venir, petit vicieux.”
    
    “Vicieux, non, curieux, simplement curieux de prouver que ma découverte est exacte.”
    
    “Oui, je vois, c’est le professionnel qui parle.”
    
    “D’une certaine manière oui, et puis d’une autre, reconnais que c’est quand même une découverte très excitante, aussi bien pour toi que pour moi.”
    
    “Excitante est bien le mot” dit Maria, remarquant sous la ceinture, une bosse se ...
    ... former dans les plis du pantalon de Marco, venu s’asseoir prés d’elle.
    
    “Il est bien écrit plus large de fesses que de ventre, il serait bien je crois de vérifier, tu ne crois pas, allez, ne soit pas farouche, montre-moi un peu ces fesses !”
    
    Maria rougit, mais se lève et doucement soulève sa longue jupe jusqu’à l’apparition de son majestueux globe lunaire recouvert d’une fine culotte blanche. Marco en tombe à la renverse, c’est trop beau, dit-il, splendide et d’une main, il retient la jupe tandis que l’autre glisse sur la croupe offerte.
    
    Il caresse, tâte, pelote les fesses, en parcourt toute l’étendue, toute la masse, en épouse les contours, glisse par-dessus, les soupèse, Maria se baisse encore plus, elle s’abandonne, Marco lui relâche sa jupe qui tombe sur ses épaules, des deux mains il tripote, caresse, froisse la culotte, la tire et la fait glisser le long de la raie qui s’écarte pour mieux avaler le tissu soyeux. Maria, sous les caresses, commence à se trémousser, elle se contracte, s’épanouit, s’ouvre, se ferme, se lève, s’abaisse, se couvre par instants de chair de poule, ses reins se creusent, sa croupe épanouie semble électrisée par le souffle de Marco qui s’est rapproché, la bouche ouverte prête à mordre. Mais d’un mouvement du bras, il encercle la taille de Maria et pesant sur elle l’oblige à mieux se courber entraînant par réaction une saillie plus prononcée du séant. Attrapant l’élastique du slip, il tire celui-ci vers le haut.
    
    La fine étoffe s’enfonce ...