Salon de l’érotisme – Une infirmière en Beauce 09
Datte: 31/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: VIEULOU, Source: Hds
... finale de la semence qui déborde de ses lèvres serrées autour du membre marital. Le mari comblé se penche sur sa femme et l’embrasse, recueillant son propre foutre sur la langue de sa tendre épouse.
Valérie, quittant la bite de son époux, vient se blottir dans ses bras, se lovant au creux de son épaule, quêtant ce moment de tendresse dont toutes les femmes sont friandes.
Hervé réfléchit qu’il a mis plus de vingt ans à voir son rêve se réaliser. Il a bien identifié ses envies, ayant compris en son for intérieur qu’il a toujours eu envie de la voir avec d'autres hommes. Il se sent mieux d'en avoir conscience et de l'assumer intellectuellement.
Maintenant qu’elle s’est fait prendre par deux hommes, dont un, son propre patron devant lui, il ne souhaite qu’une chose que les occasions de la voir jouir sous d’autres hommes se répètent. Pourtant, il va falloir agir prudemment, que des répétitions trop fréquentes ne soient pas lassantes à la longue et qu’un dégoût de par et d’autre n’apparaisse. Il ne faut pas que sa femme devienne une femelle à baiser, « une paillasse à foutre » et qu’elle ne soit plus désirable à ses yeux. Il va falloir trouver des jeux, des occasions diverses avec un intérêt érotique certain, pour qu’ensemble, ils y trouvent à chaque fois un nouveau plaisir.
Justement. Il vient de voir sur un panneau publicitaire qu’un salon de l’érotisme va avoir lieu la semaine suivante à Tours dans l’Indre-et-Loire. Chartres n’en est qu’à 200 km par l’autoroute en ...
... passant par le Mans. Le dimanche suivant, Pauline est en déplacement avec son lycée pour une visite du château de Versailles. Au bout de quelques jours, Hervé propose donc cette sortie à son épouse en lui disant qu’ils avaient droit à un peu de fantaisie. Celle-ci le traite de « vieux cochon », mais se laisse persuader sans protester comme elle l’aurait certainement fait avant de se laisser circonvenir et d’offrir son corps au beau Cédric.
Le dimanche suivant, pour cette occasion, Valérie a revêtu une jupe en daim, Oh ! Pas une minijupe, mais tout de même dix bons centimètres au-dessus du genou et un corsage saumon en voile qui laisse transparaître un soutien-gorge tabac et des Dim up assortis. Pas de quoi se faire sauter dessus à ce salon licencieux, mais c’est tout de même sexy.
Valérie appréhende de se retrouver avec des pervers, son mari lui a expliqué que ce n'était pas ces pervers-là qui sont dangereux, ceux-ci sont dehors et se fondent dans la masse. Le couple parcourt longuement les stands de lingerie et vêtements sexy ainsi que les magasins de sextoy et autres accessoires. Au début, elle est tétanisée, surtout lorsqu’un vendeur veut lui présenter un gode, mais curieusement elle se sent à l'aise assez rapidement. Il est vrai que les gens ne s'occupent pas des autres. À la grande surprise de son époux, elle demande elle-même des explications sur les vibro-masseurs et les godes à une vendeuse allemande, Hervé en assure la traduction comme il le peut. Le couple ...