1. Salon de l’érotisme – Une infirmière en Beauce 09


    Datte: 31/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: VIEULOU, Source: Hds

    ... inquiète du regard que va désormais porter son époux sur son comportement, sur le plaisir qu’elle n’a pu s’empêcher d’exprimer en se vautrant dans une fange bruyante et indécente.
    
    Hervé est pourtant très tendre avec sa moitié. Il lui dit tout son amour et la remercie d’avoir comblé ses rêves les plus secrets.
    
    • Tu sais chérie, je ne pensais pas que tu puisses être aussi classe et superbe lors de cette soirée où tu as éclipsé toutes les femmes présentes. Tu m’as fait un grand honneur devant tous ces notables. Puis, tu nous as comblés tous les trois. Cédric et Paul t’en sont très reconnaissants. Tu as été une amante formidable et j’espère que tu le resteras.
    
    Valérie, dont le visage a rosi au rappel des turpitudes auxquelles elle s’est livrée, s’exprime pourtant de sa voix douce.
    
    • Mon Amour, j’ai une grande honte de m’être conduite ainsi. Je sais que c’est toi qui l’as voulu, mais me retrouver nue dans les bras de Cédric et surtout de Paul, ton vieil ami. Comment vais-je pouvoir les rencontrer à nouveau et que vont-ils penser de moi ?
    
    • Ne crains rien mon amour. D’abord, ce sont des gens très discrets, de par leur rang social et rien ne s’ébruitera de cette soirée. Ils me l’ont assuré et lorsque tu les rencontreras en public, je peux t’assurer qu’aucune allusion dérangeante ne te mettra dans l’embarras.
    
    Valérie se blottit dans les bras de son mari et le couple s’endort sagement jusqu’au matin. Lorsqu’elle se réveille, elle contemple son mari qui dort ...
    ... profondément ; son pantalon de pyjama est tendu comme une toile de tente au bout de son mat. Se penchant sur le vêtement léger, elle effleure de ses doigts fins le renflement qui se tend encore plus sous le tissu très léger. Écartant subtilement la bordure de la braguette sans fermeture, elle frôle le membre rigide qui tressaute sous la caresse.
    
    Valérie regarde son homme qui dort toujours, un sourire béat illumine son visage. Prenant délicatement le vit de son époux entre ses doigts, elle le gobe au fond de la bouche et savoureusement, elle entoure de la langue le gland qui laisse perler un peu de liqueur pré séminale. Elle adore sentir le pouvoir qu’elle a sur cette chose si fragile et l’effet de sa langue et de ses lèvres sur le pénis de son homme. Elle le suce longuement, tout en se touchant l’entrejambe d’une main. Elle songe aux deux queues qu’elle a dû engloutir la veille, Celle de Cédric et celle du vieux colonel.
    
    À cette pensée, le rouge lui monte au front, la honte de ce qu’elle a dû faire et subir ; ses sentiments se mélangeant dans une sorte d’exultation malsaine. Elle se souvient du foutre gluant qu’elle a avalé, d’abord contre son gré, puis avec de plus en plus de jubilation, mettant ses sens en ébullition.
    
    Hervé émerge bientôt de son sommeil, admirant sa femme qui le pompe avec autant de ferveur. Il lui caresse doucement la chevelure et la contemple avec amour. Celle-ci lève les yeux et le regarde fixement durant toute la caresse buccale, jusqu’à l’éjection ...
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