La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 1248)
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... quadrupédie face au mur, tout le tour sur les quatre côtés muraux. Sans un seul mot, c’est en silence qu’avec l’esclave qui m’accompagnait, nous déposâmes donc les gamelles sur des croix inscrites à la peinture rouge sur la dalle froide, inscriptions espacées pour chacune d’un mètre. Je compris très vite qu’il était strictement interdit de se parler entre nous… Tout d’un coup, une grande double-porte s’ouvrit et je vis arriver en file indienne et à quatre pattes beaucoup d’esclaves nus qui semblaient être épanouis ici. Il y avait autant de femelles ayant une ceinture de chasteté que de mâles encagés. Silencieuse, et imitant l’esclave venu avec moi qui se mit à terre pour déjeuner, je compris vite qu’une dernière croix rouge n’était pas occupée et que cette place était donc la mienne pour manger. Alors je me mis à quatre pattes à mon tour et je me mis à avaler, après avoir observé autour de moi, ma pitance calorifique... Marie entra dans la salle. Elle vient à moi et me tira par mon collier pour m’obliger à me redresser. Je me levai donc et la suivis rapidement. Les autres esclaves me regardaient partir et ce qui me gêna, si bien que mes joues devinrent rouges. Marie sortit sans un mot et je lui emboîtais le pas obligée de la suivre tirée par la laisse...
- Monsieur le Marquis m’a demandé de venir te chercher, me dit-elle, un sourire narquois aux lèvres.
Mon stress monta d’un cran et je blêmis. En soi, ce qui me gênait le plus n’était pas la peur de la punition, mais ...
... celle de me présenter devant le Maître alors que j’avais fauté le matin même. Je me sentais terriblement honteuse. Monsieur le Marquis était assis sur une confortable chaise sur la terrasse derrière le Château côté piscine. Il buvait un café dans une jolie porcelaine, profitant du soleil. Un homme était assis sur la chaise face à lui, mais je ne pouvais voir qui il était. Le Maître nous aperçut, instinctivement, je baissais les yeux.
- Merci Marie, tu peux disposer. Quant à toi, dit-il d’un ton sec, en position d’attente, là.
Il me montra un endroit à côté des deux chaises. Je me mis à genoux promptement, la tête baissée, les cuisses écartées, les mains dans le dos. Malgré la gêne d’être ainsi devant un autre homme, je ne voulais plus décevoir le Maître. Il reprit sa discussion avec l’homme comme si je n’étais pas là. C’était étrange, j’avais l’impression de reconnaître la voix de l’autre personne, mais celle-ci m’échappait. La discussion continuait, je fixais le sol, sans bouger, sans rien dire, perdue dans mes pensées. J’eus quelques frissons causés par la petite brise traversant mon corps nu. Une phrase me sortit de ma torpeur :
- Alors Mademoiselle, vous voila bien changée. Ou devrais-je dire plutôt, petite chienne ?
Je venais de reconnaître la voix. J’ouvris de grands yeux et resta interdite. Un de mes professeurs de l’université. Je ne relevai pas la tête malgré mon envie de confirmation, personne ne me l’avait exigé.
- Alors, on t’a posé une question, il me ...