1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 1248)


    Datte: 30/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Eriliel au Château (suite de l'épisode 974) -
    
    Je me relevais et suivis tête baissée et toute penaude, la grande esclave noire Nadia MDE qui avait pris le plateau et qui arborait une certaine fierté d’avoir su contenter le Maître... Je la suivais depuis 10 minutes maintenant. Nous avions croisé plusieurs esclaves dans les longs couloirs feutrés, déjà absorbés par les nombreuses tâches du Château. J’essayais de suivre le pas tout en flânant un peu pour regarder autour de moi mais toujours avec la tête baissée, mais cela ne fonctionna pas comme j’espérais. En effet, je fonçais droit sur Nadia MDE qui s’était arrêtée spontanément pour me regarder faire. Visiblement, cela l’amusait beaucoup. Elle me fit un clin d’œil et me demanda de me dépêcher car nous allions dans les Cuisines aider Marie, la sévère et perverse cuisinière. Pour l’avoir déjà croisée, il ne me disait rien de bon de la faire patienter plus que nécessaire. J’arrêtais de regarder à droite et à gauche pour hâter le pas… Nous arrivâmes rapidement dans les Cuisines. Nadia MDE posa le plateau que le Maître avait fini et me laissa avec Marie et quelques autres esclaves déjà sur place et qui s’activaient à la vaisselle et autres servitudes. Décidément, cette journée promettait d’être compliquée. Je n’avais jamais été très douée en cuisine. Je commençais à appréhender la matinée auprès de Marie, imaginant tout rater à la chaine...
    
    Heureusement pour moi, elle m’exigea d’éplucher des légumes, ce qui semblait être à ma ...
    ... hauteur. Je soupirais d’aise en moi-même et me mis à la tâche sans tarder, craignant son courroux si je n’obtempérais pas de suite. C’était simple, peut-être trop, car je me remémorais sans cesse le regard courroucé et déçu du Maître. Au fur et à mesure de la matinée, mon estomac se noua de plus en plus. Avoir déçu, dès la première journée avec le Maître, je n’aurai rien pu faire de pire... Ruminant, je n’avais pu vu Marie que s’était rapprochée de moi. Je soufflais encore une fois ma tristesse, quand je reçu un petit coup de badine sur la cuisse. Je poussais un petit cri de surprise et tourna la tête vers la cuisinière qui sévèrement me lança :
    
    - Pourquoi soupires-tu ? Tu ne devrais pas être heureuse d’être Son esclave, maintenant ?
    
    - Si, Madame Marie, je suis très heureuse. Pardonnez-moi, je vais arrêter de soupirer et me concentrer totalement à vous obéir.
    
    - Oui, tu as plutôt intérêt, la petite salope de chienne. (Elle me regarda avec un regard mi amusé, mi hautain et ajouta, toujours sur un ton sec et autoritaire) - J’ai hâte de te voir cet après-midi en tout cas.
    
    Je me sentais devenir pâle et mon appréhension augmenta encore d’un cran. Je décidais de me concentrer totalement à ma tâche, l’éplucheur en main. Un peu avant midi, je préparais les gamelles pour les esclaves. J’étais impressionnée par le nombre. Je préparais le tout sur un chariot pour l’apporter avec un autre esclave dans la grande salle où tous les esclaves devaient se sustenter à même le sol, en ...
«1234»