1. Le goût du café


    Datte: 30/01/2020, Catégories: fh, inconnu, amour, cérébral, revede, Oral pénétratio, amourdura, Auteur: Ted Nonin, Source: Revebebe

    ... tendres baisers. Ma langue caresse la base de son cou, remonte vers son oreille. Je caresse ses hanches du bout des doigts, je savoure chaque parcelle de son corps. Je la sens frissonner.
    
    Je continue à embrasser, à goûter chaque parcelle de son corps. Ses bras, son ventre, ses cuisses, je remonte vers ses seins. Je passe ma langue sur ses aréoles, titille le bout de ses tétons, les mordille.
    
    Puis, n’y tenant plus j’enfouis ma tête entre ses cuisses. Putain, c’est pour de vrai. Je ne suis pas en train de fantasmer, là. J’embrasse ses lèvres intimes, les goûte, les dévore. Je glisse un doigt en elle, deux. Je caresse son clito du bout de ma langue, écarte ses lèvres, hume son odeur, lèche de plus belle. Elle se cambre, je l’entends gémir. Elle relève ma tête puis m’attire près d’elle, nous sommes tous les deux nus, allongés face à face et encore une fois le temps s’arrête : son regard, ses yeux.
    
    Après quelques secondes, une éternité. Elle m’allonge sur le dos, grimpe sur moi à califourchon, ses fesses frôlent mon sexe, et à son tour elle m’embrasse, me lèche, goûte chaque parcelle de mon corps. Je savoure ce traitement ...
    ... quelques minutes, puis je lui attrape les hanches, fais glisser son bassin vers mon pénis qui n’en peut plus, qui réclame son dû. Son sexe glisse sur le mien, elle a ses jambes de chaque côté de mes hanches, son bassin ondule, lentement, elle me regarde, je me noie. Je suis en elle, dans sa chatte dans ses yeux, elle se penche vers moi nos corps se touchent, s’enlacent. Elle secoue son bassin, plus vite plus fort, Je jouis, elle crie. Elle reste contre moi, je reste en elle.
    
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    Trois ans, ça fait trois ans que j’ai osé inviter Ophélie, trois ans que j’ai trouvé mon âme sœur, trois ans que sa bouche, ses fesses, ses seins, ses yeux ont fait chavirer mon cœur. Et surtout ça fait trois ans que je n’ai plus besoin de rêver, parce que mon rêve, je le vis.
    
    Mais putain, là ça recommence, je suis reparti dans l’espace, mes pieds touchent plus terre, ma vue est trouble. Je suis comme un con, agenouillé devant elle une bague à la main. Le temps s’est encore figé.
    
    Et comme à chaque fois, son regard transperce le mien, je me plonge dedans, et j’entends ce mot. Ce putain de mot qui me fait tellement de bien.
    
    — Oui. 
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