Bungalows - Histoires de Sexe

Bungalows

... seins.

— Je viens m’excuser de vous avoir importunés. Pour me faire pardonner, je veux bien que vous me punissiez, vous aussi…
— Qu’est-ce que tu en penses, Sylvie ?
— Je crois qu’elle l’a cherché, et que tu en as très envie.
— Vous acceptez alors que je me couche sur vos genoux ?

Son pubis est sur ma cuisse et ses fesses sous ma main. Clac ! Une légère frappe, une caresse plus qu’un coup. Sylvie, désormais assise comme moi, frappe plus fort. Chacun à notre tour, nous abattons nos mains sur ce fessier que recouvre à peine le slip de bain encore humide. Sylvie frappe de plus en plus fort.

— Tu me fais un peu mal, Sylvie ! Mais continue, j’adore. J’adore encore plus quand c’est ton mec.

Sylvie frappe à coups redoublés, farouche. L’humidité tiède que je sens sur ma cuisse ne provient pas que du slip de bain de Sophie. Quand elle se relève ses seins, encore plus parsemés de sable qu’avant, frôlent mes lèvres. Et elle marche vers Thomas, les fesses rougies. Sylvie respire vite.

Nous sommes dans l’eau jusqu’à la poitrine, Thomas et moi. Il me demande si leur petit jeu nous a plu.

— Beaucoup !
— Nous en avons bien d’autres à vous proposer. Et même un tout de suite, tiens : les filles apprendraient à mieux nager, et nous les aiderions à rester allongées dans l’eau, pour perfectionner leurs mouvements.
— Mais elles nagent toutes très correctement.
— Et alors ?.. Sophie, reviens ! Tu nages comme un petit chien. Julien va te tenir pour que tu fasses enfin des ...

... gestes corrects !
— C’est vrai, Julien, tu veux bien m’aider ? Oh, tu es gentil ! Tiens-moi sous le ventre.

J’avance les mains, les paumes vers le haut, elle se couche dessus et fait des gestes maladroits avec les jambes et les bras.

— Tiens-moi bien, ou je vais me noyer !

Sylvie, qui s’est rapprochée, demande à quoi nous jouons.

— Julien aide Sophie à se perfectionner, lui affirme Thomas. Je t’ai bien observée, tu sais, tes mouvements ne sont pas assez synchronisés.

Ma compagne constate que mes bras sont un peu trop écartés. En effet, les gestes de Sophie n’ont pas été toujours désordonnés, elle a plaqué une de mes mains sur sa poitrine et l’autre sur son pubis, avant de glisser la sienne dans mon slip de bain :

— Il faut bien que je me cramponne à quelque chose… Ah, c’est du solide !
— On s’amuse bien, je vois, constate ma petite chérie. Thomas, tu crois vraiment que j’ai des progrès à faire, moi aussi ?
— J’en suis tout à fait certain !
— Alors aide-moi !

Virginie et David nous rejoignent. Sophie me laisse pour David. Virginie enlève son slip de bain et le met sur sa tête, comme un bonnet.

— Julien, fais-moi nager, moi aussi ! Et tu sais, on est tellement mieux à poil ! Allez, enlève ça !

J’obéis, et je passe un bras dans l’échancrure de mon slip pour le coincer sur mon épaule. Sous mes mains, ses seins et l’orée de sa grotte. Dans la sienne, mon bâton, dilaté et rigide depuis belle lurette. De blancs filaments ne tardent pas à dériver dans les ...