Bungalows - Histoires de Sexe

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... ceinture, David ! Voilà ! Frappe, frappe ! Plus fort ! Plus fort sur les fesses de ta femme infidèle et sur celles de son amant ! Enfin… son futur amant. Peut-être !
— Thomas, Sylvie, sortez de là ! Les cinq minutes sont écoulées. Sylvie, viens voir ton mec dans les bras de Virginie ! Quand ils se détacheront je suis sûre que tu verras un peu de sa semence sur le ventre de sa cavalière !… Allez, écartez-vous ! Voilà, qu’est-ce que je disais ! Julien, enlève les pinces de Virginie, avec les dents. Virginie, à ton tour !… Et vous comptez aller dans la chambre, maintenant, les deux tourtereaux ? Eh bien vous faites erreur, vous resterez avec nous. David, Sylvie, vous les avez vus, ils sont parfaitement disposés à vous tromper, ces deux-là : regardez dans quel état ils sont, les fesses rouges, le minou de Virginie inondé de cyprine et Julien qui bande encore comme un âne. Nous allons les obliger à vous rester fidèles, au moins pendant quelque temps. Le désir insatisfait, voilà une souffrance amusante, à laquelle ils ne sont pas habitués, sans doute.

Virginie masse ses tétons en grimaçant.

— Je vais calmer ta souffrance, lui dit ...

... Thomas.

Il se penche et en prend un entre ses lèvres. Puis l’autre. C’était à moi de faire cela ! Et il vient de le faire à Sylvie. Sylvie dont le slip est humide. Ma Sylvie qui le regarde, jalouse ! Il se laisse tomber sur les genoux et avance les lèvres. Virginie, les mains sur les tempes de Thomas, ferme les yeux. Une larme a roulé sur sa joue. Les pinces font mal surtout quand on les enlève, si on les a gardées quelque temps.

Sophie rit aux éclats :

— Abandonné de toutes, mon pauvre Julien ! Habille-toi, je t’emmène. Allons cueillir un petit bouquet d’orties. Votre petit jeu d’hier soir, vos copines attachées - Virginie m’a raconté - et vous qui hésitiez, grands dadais, c’était peut-être amusant mais à charge de revanche. Alors ce soir ce sera vous, les mecs, qui serez écartelés, nus, un foulard sur les yeux et deux ou trois orties posées sur votre poitrine. Vous ne saurez pas qui de nous viendra les promener sur votre corps. Vous savez que les piqûres d’orties sont considérées par certains comme aphrodisiaques ? Nous en profiterons abondamment, et chacune de nous décidera avec lequel d’entre vous elle finira la nuit.