Petite nièce, longue nuit (2)
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: l'estello, Source: Xstory
... lèvres, la tension retombe, et je recommence. Ma langue sur son trou, mes doigts sur son berlingot rose...
A chaque séquence, ses gémissements s’amplifient, son corps est pris de spasmes de plus en plus féroces. Fermement, je la saisis par les hanches et la fais se relever, sa croupe généreuse m’étant ainsi largement offerte. Je lèche encore son cul longuement, puis y insère sans aucune difficulté mon index à peine imprégné de salive. Un tout petit cri aigu s’élève dans le silence de la nuit au moment où je le ressors.
Je me lève et contourne le lit pour allumer la lampe de chevet, il serait dommage de rater un si beau spectacle, il y a bien longtemps qu’un aussi joli cul ne s’était pas offert à moi... En regagnant ma place, je fais une halte à hauteur de son visage, je prends le temps de bien la fixer dans les yeux, je veux qu’elle voie dans mon regard tout mon désir pour elle. La petite salope ne regarde pas mes yeux, mais uniquement ma queue encore gonflée de désir, mais pas totalement érigée. Elle passe sa petite langue pointue sur ses lèvres charnues en détaillant chaque centimètre de mon manche. Pour la provoquer davantage, je saisis ma queue et la branle en lenteur. « Oh putain tonton, prends-moi, prends-moi maintenant ». Je ne la laisse pas parler à nouveau et vigoureusement j’enfonce ma queue dans sa bouche, raclant sa langue et son palet. Très vite, je suis au maximum de mon érection et retourne me positionner derrière elle.
Je m’installe debout sur le ...
... lit, et je positionne ma queue luisante de sa bave à l’entrée de son trou étoilé. De mes mains, j’écarte ses fesses et vois son anus s’ouvrir comme une fleur au soleil. D’un coup sec, je fais pénétrer mon gland en elle, lui arrachant un cri strident. La laissant à peine respirer, j’introduis maintenant lentement, mais avec régularité centimètre après centimètre la totalité de mon membre en elle. Je me retire un peu, et aussitôt me ré-enfonce. Je répète ainsi la manœuvre jusqu’à trouver un rythme de croisière soutenu dans son cul.
Je dois vous avouer, mes amis, que jamais un cul ne m’avait paru si désireux de se faire prendre, remplir, pilonner. En vingt ans d’union, j’ai sodomisé ma femme une dizaine de fois tout au plus, lors de week-end amoureux ou à l’occasion d’événements, et à chaque fois, je fis preuve d’une extrême prudence afin de ne pas la braquer et m’offrir une chance de recommencer un jour. Mais là, le cul de ma nièce me fait perdre toute considération bienveillante. Ma seule obsession est de le baiser aussi intensément que possible, lui asséner de véritables coups de boutoir. Je veux que ma nièce crie de douleur et de plaisir, je veux la baiser si fort que plus jamais un homme ne se sentira à l’étroit en elle. Et c’est ce que je m’acharne à faire. Mes cuisses cognent contre ses fesses, je râle, j’exulte, je claque son cul vigoureusement. Elle a mal, elle gémit, mais elle aime ça, « oh oui, oh oui, oh oui... » sont les seuls mots qu’elle est capable de prononcer à ...