1. Petite nièce, longue nuit (2)


    Datte: 28/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: l'estello, Source: Xstory

    Assis sur le canapé, le short baissé sur mes genoux, le sexe amorphe, je m’empresse d’avaler mon whisky comme pour me remettre de mes émotions. Florence, elle s’est assise près de moi et boit le sien par toutes petites gorgées.
    
    Dans ce temps de silence et d’accalmie, les idées se bousculent dans ma tête. Il en ressort un terrible sentiment de culpabilité, de colère envers moi-même, presque de dégoût... Non, mais merde ! Je me suis fait faire une fellation par ma nièce ! Jamais je n’aurais pu l’imaginer. Et sur le moment, loin d’être dégoûté, j’ai joui rapidement comme un petit puceau surexcité !
    
    Embarrassé par ma nudité, je tire sur mon short pour le remonter et couvrir mes parties intimes. Florence finit son verre et le pose sur la table, puis aussitôt, elle vient se lover contre moi, embrassant mes épaules, mon cou, mes joues... Elle voit bien que je reste de marbre à ses baisers, les yeux perdus dans le vague. Elle m’interpelle alors :
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’as pas aimé ?
    
    — Ce n’est pas la question Flo. Mais ce n’est pas bien... moralement je veux dire. On n’aurait pas dû.
    
    — Bah, on est des adultes, on en avait envie, on l’a fait, point barre. Il n’y a pas à se torturer l’esprit.
    
    — Ce n’est pas si simple que ça...
    
    — Si, ça l’est. J’avais envie de te sucer et je l’ai fait. Et vu comment tu étais dur et la quantité de sperme que tu m’as envoyé dans la gorge, je pense que tu en avais envie aussi ! Et ce n’est pas fini...
    
    A ces mots, sa main ...
    ... se dépose sur mon entrejambe, saisissant d’emblée ma queue molle entre son pouce et ses quatre autres doigts. Elle presse délicatement mon sexe quelques secondes, et au moment où je sens que le désir va reparaître et durcir sous ses doigts, je l’empoigne vigoureusement.
    
    — Non Flo !! On arrête là, on a fait une connerie ! Elle était délicieuse, c’est vrai, mais ça doit s’arrêter là !
    
    — Quel nigaud ! Du calme, je veux juste voir combien de temps tu vas mettre pour bander à nouveau... la... voilà...ça vient... je la sens durcir... je suis sûre que ma tante ne te fait pas rebander aussi vite...
    
    Et mince, je me suis encore fait avoir... Sans même m’en rendre compte, je suis encore aussi dur qu’un matin au réveil ! Et elle a raison la coquine, sa tante ne me fait pas « revenir » aussi rapidement !
    
    Florence se tient à genoux près de moi, ses talons repliés sous ses fesses. Alors qu’elle continue à presser délicatement ma bite à présent bandée à l’extrême, j’aperçois par l’entrebâillement de son débardeur sa toute petite poitrine. Des globes très peu marqués, à peine de quoi remplir une brassière de pré-ado, mais des tétons bien présents, rose foncé, tirant sur le marron clair et contrastant avec sa peau très blanche. La conjugaison de cette vision et de sa main qui malaxe ma bite me fait définitivement renoncer à toute moralité. Je dégage mon bras alors coincé entre ma hanche et ses genoux, je fais glisser une bretelle de son haut de sorte à dénuder son sein, je plaque ...
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