1. Petite nièce, longue nuit (2)


    Datte: 28/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... fermement ma main contre ses reins et je m’empresse d’embrasser son petit téton aussitôt durci par le contact de ma bouche fraîche et humide. La petite salope gémit quand je commence à la mordiller assez profondément tout en collant une claque sur son cul joufflu.
    
    Elle passe sa main dans mon short et branle ma bite frénétiquement alors que je continue sur ses seins mes morsures, mes baisers et mes coups de langue tout en giflant ses fesses sur son short.
    
    — - Hum tonton... j’aime ta bite... j’ai rêvé d’elle si souvent...
    
    — Ah bon ? Et tu n’es pas déçue ?
    
    — Oh non, la tenir dans mes mains fait dégouliner mon minou...
    
    — Hum, je vais vérifier ça...
    
    Je passe alors ma main entre ses jambes, insinuant mes doigts entre ses cuisses et le tissu, et je découvre en effet une petite chatte chaude et trempée. Avec trois doigts, j’effectue des allers-retours sur toute la longueur de sa vulve, recueillant à chaque passage son jus précieux. Puis de la pulpe de mon majeur, j’entame une délicate danse sur son clitoris que j’effleure d’abord, puis que j’active plus fermement, le sentant se raffermir sous ma peau.
    
    — - Oh, tonton chéri, j’aime que tu me branles comme ça !
    
    — Il faut dire que ton minou est très accueillant ma puce...
    
    — Ohhh oui, j’ai tellement désiré que tu me baises... Dis-moi que tu en as rêvé toi aussi !
    
    — Oui ma puce, j’en ai rêvé aussi.
    
    — Dis-moi que tu penses à moi quand tu baises ma tante.
    
    — Oui... je pense à toi quand je la baise...à ton ...
    ... cul, à ta chatte, à ta bouche...
    
    — Mes mots, même s’ils ne sont pas totalement empreints de vérité, lui font perdre les pédales, l’écoulement de son jus redouble, les mouvements de sa main sur ma queue également. Je n’ai quasiment plus besoin de bouger mes doigts sur son intimité. Par de grands à coups de son bassin d’avant en arrière ,elle se branle littéralement toute seule sur mes doigts. Je reprends mes baisers sur sa poitrine quasi enfantine, rien à voir avec le 95D de ma femme, c’est sûr, mais ses petits seins m’excitent tout autant. De sa main restée libre, Florence s’accroche à mon cou, griffe mon crâne et se tortille de plus belle sur ma main prisonnière de ses plis intimes. « Baise-moi tonton, baise-moi comme une chienne, mets ta queue dans mon ventre...
    
    Merde ! Il est encore temps pour moi de tout arrêter, de revenir à la raison et me comporter en adulte.
    
    Elle voit bien que je tergiverse, que je ne prends pas les devants, que je me contente de laisser ma main entre ses cuisses et sucer ses tétons, et cela ne lui suffit plus.
    
    Elle s’impatiente sans doute et se lève précipitamment, m’arrache mon short et enlève le sien. Avec beaucoup d’autorité, elle me fait m’allonger de tout mon long sur le canapé et aussitôt, elle s’étend sur moi. Elle cherche à m’embrasser et je reste le plus passif possible, tiraillé entre mon désir et ma culpabilité. Elle replie alors ses genoux à hauteur de mon bassin, puis de sa main gauche, elle vient chercher ma queue encore dure ...
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