Peur et désir
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
campagne,
caférestau,
voyage,
intermast,
Oral
fdanus,
Humour
occasion,
Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe
... pas de même pour Mélanie, qui ignore tout de cette aventure. Mon unique solution est donc d’épuiser Bernadette sans trop me dépenser.
Cerise sur le gâteau, demain soir je passe ma nuit à Peyrepertuse avec Mélanie, une nuit suivie le lendemain matin par une visite du château où l’on doit y faire des « bêtises ». Très durs moments en perspective… quoique particulièrement sympathiques.
Je suis sorti de mes « viriles » réflexions par les premiers râles de Bernadette. Elle semble un peu plus discrète que précédemment, mais pas de beaucoup. Je saisis ses cuisses à pleines mains, et avec ma langue je m’active sur son clito que je n’hésite pas à mordiller du bout des dents. C’en est trop pour elle. Elle ne sait plus si elle doit essayer d’écarter encore plus ses cuisses ou au contraire les serrer. Mais peu importe, car le résultat est qu’elle se met à jouir violemment en inondant ma bouche de son délicieux nectar.
— Maintenant je me sens un peu plus femme et un peu moins cocue, me déclare-t-elle en reprenant ses esprits.
— Je ne vous demande pas si ça vous a plu ?
— Non, ce n’est pas la peine.
Bernadette sort de la voiture et se rhabille partiellement. Elle tourne alors son regard vers mon pantalon qu’elle fait tomber au sol avec une habileté surprenante après en avoir détaché la ceinture. Un sans-faute en quelque sorte. Tel quel, je ne suis pas dans la position la plus sexy, mais j’attendais ce moment avec impatience.
Bernadette reste debout. Elle sort ...
... délicatement mon engin de sa prison de coton et se met à le masser avec deux doigts, d’une manière presque désuète. Je n’aurai même pas droit à une langoureuse fellation dont je raffole, après tout le mal que je me suis donné pour elle. Mais au final ce n’est pas bien grave ; comme Bernadette n’a toujours pas rattaché son soutien-gorge, je peux jouer avec sa poitrine à pleines mains. L’un dans l’autre, je ne suis pas perdant… et puis on fera mieux demain.
Compte tenu de l’état d’excitation dans lequel je me trouve depuis un long moment, Bernadette n’a nul besoin d’accentuer la vigueur de son mouvement pour que je me laisse aller à envoyer mes jets de plaisir sur le petit arbuste qui se trouve juste devant nous. Très satisfaite que son travail soit arrivé à bonne fin, Bernadette me contemple de dos, puis me déclare, tout sourire :
— Vous aussi vous avez de belles fesses, bien rondes.
— Tiens, vous me vouvoyez à nouveau, me crois-je obligé de lui répondre.
— Oui, parce qu’on n’est plus dans le feu de l’action, m’affirme-t-elle.
— Merci quand même pour le compliment.
— Maintenant, vous devez vous sentir soulagé.
— Oui, plus qu’un peu.
Bernadette se rhabille complètement et constate que son pantalon s’est taché quand elle s’est mise à genoux tout à l’heure, avec un mélange de traces d’herbe et de terre.
— Rentrez chez vous pour vous changer, lui dis-je ; je dirai à votre époux que du café s’est renversé sur votre pantalon.
— Ce n’est pas dans mes habitudes, mais c’est une ...