1. Peur et désir


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fépilée, campagne, caférestau, voyage, intermast, Oral fdanus, Humour occasion, Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe

    ... Elle a fait la séquence inverse de ce que je lui avais suggéré. C’est moins commode, mais on arrive au même résultat. Le seul vrai problème, c’est qu’avec un pantalon c’est mille fois moins efficace qu’avec une jupe ou avec une robe. Une fois installée, je n’ose pas dire confortablement, Bernadette me demande très naïvement :
    
    — Vous allez me faire l’amour ?
    — Non, pas dans ces conditions. On verra ça demain, lui dis-je avant d’ajouter : excusez-moi, mais j’aime mon confort et la convivialité… sinon on n’aurait pas besoin d’alibi.
    — Mais alors, qu’est-ce que vous allez me faire ?
    — Je vais vous léchouiller, vous déguster, vous savourer… en deux mots vous faire un petit cunni…
    
    Bernadette ne réagit pas, c’est pourquoi je crois utile de lui préciser :
    
    — C’est ma langue qui va s’occuper de votre joli minou.
    — Mais c’est très indécent…
    — Pas plus que la minette de tout à l’heure.
    — C’est vrai, se voit-elle obligée de reconnaître.
    — Et maintenant mettez-vous en position. Écartez vos cuisses au maximum et repliez vos jambes. Il me faut un minimum d’espace pour bien faire mon travail.
    
    Bernadette s’exécute. La position dans laquelle elle se trouve est particulièrement indécente. J’en souris quand je pense que mon intimité avec cette femme a moins d’une heure.
    
    Je me saisis d’une revue professionnelle qui traîne dans le vide-poches et je la mets sur le sol pour pouvoir me mettre à genoux sans trop me salir. La chatte de Bernadette est maintenant à moi. Une chatte ...
    ... humide, brillante, prête à être dégustée. Quand ma bouche entre à son contact et que ma langue la pénètre, Bernadette pose ses mains sur ma tête et me dit en me tutoyant :
    
    — Philippe, avec toi je suis une vraie fontaine…
    
    Suivi par :
    
    — Que c’est bon, j’adore…
    
    Les cuisses de Bernadette touchent mes joues et son pantalon me sert de chapeau. Quand je commence à sucer délicatement son clitoris, puis à le mordiller et à l’aspirer, je me rends compte que Bernadette ne mettra pas longtemps à avoir son troisième orgasme, et ce en moins d’une heure. Trois à zéro en sa faveur. Le frère cadet de mon père, qui est un dragueur invétéré, m’aurait dit en parlant d’elle qu’elle a un « tempérament du feu de Dieu », et il n’aurait pas tort.
    
    C’est la première fois de ma vie qu’une femme que je pensais très difficilement accessible, une femme à qui j’aurais pu donner le bon Dieu sans confession m’invite à la séduire le temps d’un repas, moins le dessert. Comme quoi… Je me mets à penser que dans quelques heures, après la visite du musée, c’est Mélanie qui va me tomber dessus… et que demain matin ce sera à nouveau au tour de Bernadette avec notre alibi en béton.
    
    Comme je ne suis pas un surhomme, bien que tenant une bonne forme, il va falloir que je joue fin. Il est hors de question que j’ai la moindre « panne » ni avec l’une, ni avec l’autre, il faut donc que je me ménage mes forces. Bernadette connaît mon aventure avec Mélanie ; elle est donc en mesure de le comprendre. Il n’en est ...
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