1. Je ne suis pas lesbienne, mais... (4)


    Datte: 25/01/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: airdepanache, Source: Xstory

    ... cette conversation, la main de sa copine n’a jamais décollé de son embarrassant refuge.
    
    — Ouais, c’était très cool. Alors si ça nous a plu à toutes les deux, j’ai quelque chose à te proposer...
    
    Elle interrompt sa demande d’un profond soupir puis reprend: "Est-ce que ça te dirait que... que ce soir, ça soit moi qui te... Qu’on se touche mutuellement, quoi. Rien à voir avec un truc de lesbiennes, tu sais... Juste comme ça ?"
    
    À ces mots, la brune sent son ventre qui se noue. Elle ne pense pas à demander ce que ça signifie, "Juste comme ça." Ce qu’elle sait, c’est que cet après-midi, elle n’a pas arrêté de s’imaginer ce que ça ferait si elle masturbait Noëlla, et qu’à aucun moment elle n’a songé que c’est l’inverse qui pourrait se produire d’abord... Elle sent des douzaines d’objections se former à moitié dans son cerveau, mais curieusement, aucune ne parvient jusqu’à sa conscience.
    
    — Pourquoi pas, ouais, s’entend-elle dire. Elle le regrette immédiatement, puis regrette d’avoir regretté, puis oublie tout ça et décide d’essayer de se laisser aller, quoi qu’il arrive.
    
    — C’est quand même génial qu’on puisse partager ça toutes les deux sans se demander si on est en train de tourner homo ou je ne sais quoi... dit-elle.
    
    Noëlla accueille ce consentement par un sourire timide. "Ouais, d’autant que ça pourrait prêter à confusion."
    
    Ses doigts, qui n’ont pas bougé depuis qu’elle les a postés sur la culotte de son amie, se mettent enfin en mouvement. Elle les remue juste ...
    ... un petit peu pour commencer, afin de ne pas effaroucher Patricia. Délicatement, elle effleure du bout des phalanges le coton blanc, qui se plisse sur son sillage et frotte le sexe glabre qui est caché en dessous. Sous l’effet de la nervosité, les muscles des cuisses de la brune se tendent.
    
    — Relax, OK ?
    
    Elle acquiesce et se détend un peu. Noëlla considère que cela lui confère l’autorisation d’insister un peu plus. Assise sur la moquette, au pied du canapé, sa caresse se fait plus affirmée. Elle sent les contours des lèvres à travers l’étoffe.
    
    Pat commence à vraiment apprécier. Elle n’a pas conscience de ce qu’elle est en train de faire, mais elle écarte les cuisses pour l’offrir en libre accès aux cajoleries.
    
    Noëlla sent le tissu devenir humide - une tache mouillée s’y dessine. La caresse produit son effet, et ça l’excite: elle intensifie son geste, avant-arrière, avant-arrière, fière de sentir sous sa main cette tiédeur moite dont elle est directement responsable.
    
    Elle en veut plus, elle veut sentir l’effet qu’elle produit sur son amie, elle a envie de l’amener plus loin, de lui faire perdre la tête, complètement. Elle accélère le rythme, s’insinue, à travers la culotte, dans l’ouverture de cette vulve de plus en plus visqueuse.
    
    Patricia pousse un petit cri, un "oh" qui se prolonge dans un souffle, puis s’efface.
    
    — C’est bon, ma Patricia ? demande la rousse, qui, désormais, la branle vigoureusement.
    
    — Oh putain.
    
    C’est génial. Sa petite culotte est ...
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