Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... donnant, en m’offrant à cet homme.
Je chevauche mon mari, mon maître, mon amant. Sans bouger, j’utilise mes nouvelles facultés pour le masser de l’intérieur. Mon vagin le caresse, le pompe avec des muscles qui sont des dizaines de lèvres perverses. Il ne faut pas longtemps pour que Paul m’annonce son plaisir et la montée de son sperme. Le pauvre a été si excité pendant tout le temps passé en spectateur que sa libido doit se relâcher. Il m’inonde et – non, je n’ai pas le droit d’y penser – m’offre ce que Serge n’a pu me donner par sécurité.
Nous sommes enlacés. Comme souvent, Paul s’est lové derrière moi et m’enveloppe de ses bras. Je suis heureuse et je pense que mon mari l’est aussi. Vraiment, cette idée était extraordinaire, et heureusement qu’il en a pris l’initiative.
— Merci, mon chéri, pour ce cadeau. Tu as bien fait de ne pas m’en parler car j’aurais peut-être refusé, et j’aurais eu tort. Oh, mon Dieu, comme c’était bon !
— Merci pour quoi, Lise ? Je n’y suis pour rien : c’est toi qui as décidé pour nous.
— Mais de quoi parles-tu ?
— Mais lorsque vous êtes revenus après avoir dansé, Serge m’a expliqué que cette ambiance et tous ses récits t’avaient excitée et que tu voulais essayer au moins une fois.
— Mais jamais ! C’est toi qui…
— Alors pourquoi m’avoir donné ta petite culote ? Serge m’avait prévenu en disant que si je ne disais rien tu comprendrais que j’étais d’accord.
— Mais pas du tout ! C’est bien toi qui l’a contacté et pas ...
... rencontré par hasard.
— Jamais de la vie. Je l’ai bien croisé par hasard et… Attends, je comprends : il a joué sur deux tableaux, faisant croire à chacun que c’est l’autre qui avait envie de…
Un long silence.
— Il nous a bernés.
— C’est vrai. Quelle fripouille !
Je comprends au ton de Paul que "fripouille " n’est pas une injure, plutôt un compliment.
— Il doit rire de nous en ce moment, dis-je.
Un silence. Un long silence pendant lequel je me remémore chaque instant, parole et acte de Serge. C’est vrai qu’il nous a roulés dans la farine, mais il s’est vraiment comporté comme un vrai initiateur.
— Je ne sais pas s’il rit de nous, mais ce dont je suis sûr, c’est qu’il doit déjà te regretter, ma chérie.
— Ah ?
— Mais oui, tu l’as comblé.
— Mais c’était pour toi, et je pensais que…
— Chut. Oublions ses mensonges. Ne gardons que le meilleur. Après tout, ni toi ni moi ne regrettons.
— C’est vrai.
— J’ai vraiment adoré ce que nous avons fait.
— Moi aussi.
Nouveau silence. Chacun doit revivre en pensée ces moments si particuliers.
Je suis bien. Paul et moi ne faisons qu’un. Il est si lové contre moi qu’une feuille de papier à cigarette ne pourrait pas passer. Pas une feuille, mais un coin, si. Un coin qui a la forme d’un sexe qui gonfle, qui se frotte à ma raie, qui pointe vers mon petit trou.
Un doigt humide vient lui montrer le chemin. Je m’ouvre à lui. Mon anus le reconnaît, et lorsque le gland se présente, il trouve la place déjà ...