Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... et bien qu’emportée par l’orgasme dévastateur je vois que le pantalon de mon mari montre une belle bosse, une de ces bosses qui révèlent un sexe tendu et étouffé par le tissu. Paul bande, et cette révélation est la plus belle des récompenses.
Serge s’est aussi libéré. Lui aussi a accompagné sa jouissance par des "C’est bon ! C’est bon !" Je n’ai que le regret de ne pas sentir son foutre couler en moi. Nul doute que ses belles couilles n’aient libéré de belles quantités de semence. Dommage !
Serge me libère de son empreinte. Je me coule sur le lit. La pièce est soudainement silencieuse.
— Merci, dit l’homme qui vient de nous permettre cette première fois.
Ce serait plutôt nous qui devrions le remercier.
— Je vais vous laisser, ajoute-t-il en rassemblant ses habits. La première fois, un couple a besoin de se retrouver.
Il s’habille. Nous le regardons faire. Il est près de la porte.
— Merci encore. C’était formidable, et j’espère que pour vous aussi. Je serai toujours prêt si vous voulez encore de moi. Au revoir.
— Au revoir.
— Au revoir.
C’est tout ce dont nous sommes capables.
Il est parti. Paul vient s’asseoir sur le lit. Il est à côté de moi. Nous nous regardons. Sa main chasse une mèche de mon visage. Il demande :
— Ça va ?
— Oui, et toi ?
— Ça va.
— Je ne t’ai pas déçu ? Peut-être que tu n’aurais pas voulu que…
— Non, chérie, c’était parfait.
— Merci.
Je suis nue, alanguie sur ce lit qui a été témoin de notre luxure. ...
... Nue alors que Paul est encore habillé, se mettant ainsi "hors du jeu" pour n’être qu’un témoin. Mais mon amant est parti, et l’épouse que je suis veut redevenir la maîtresse de son mari.
En m’agenouillant, je commence à dégrafer le premier bouton de sa chemise. C’est comme si ce simple morceau de plastique avait été un barrage qui se brise. En quelque secondes la chemise est à terre, me montrant ce torse si différent de celui de Serge, mais ô combien chargé d’érotisme. J’insiste pour dégrafer la ceinture, ouvrir la braguette, tirer sur le slip et faire que mon maître se retrouve nu comme moi. C’est mon devoir de l’honorer. Il a été le plus gentil des maris, et même si c’est aussi pour lui, je lui suis redevable de la plus belle des expériences. Je le pousse sur le lit. Sa verge est encore gonflée et il suffit d’une caresse pour que le bâton se dresse. C’est un bâton que je connais et sur lequel je viens m’enquiller sans scrupule.
Je suis si salope que je compare cette bite avec celle qui vient de me faire jouir. Et alors ? Celle-ci aussi me remplit. J’ondule sur elle comme il aime me voir faire. L’épouse est bien loin aujourd’hui ; la mère cède la place à une pute pour l’espace d’un instant. N’est-ce pas ce dont rêvent tous les hommes ? Femme au foyer, mère attentive, mais dès que la porte de la chambre se referme ils veulent une femme coquine, cochonne, expérimentée, salope, demandeuse de plaisir et de jouissance ! Et Paul m’a donné la plus belle preuve d’amour en me ...